Répondre à un basher

From Georgeforever

Voici quelques réponses clef-en main contre les bashers de Star-Wars :


Contents

Arguments contre la Prélogie

Arguments contre la Menace Fantôme

le film est truffé d'ellipses, on comprend plus rien.

Il est vrai que le film contient beaucoup d'ellipses s'enchaînant rapidement les unes après les autres, principalement dans son premier tiers. Comme on peut le voir sur le DVD du film, Lucas est bien conscient que cela provoque un rythme que certains spectateurs ne pourront suivre en une vision. Toutefois, ce qui peut sembler être un aspect négatif se revele également avoir des aspects positifs si on réflechit plus en détail aux raisons ayant emmenées à la création de ces ellipses dans la scénarisation et dans le montage du film :

  • Les ellipses permettent d'accélerer le rythme pour arriver avant la moitée du film au personnage d'Anakin Skywalker, centre de gravité de la Prélogie (et dont l'apparition provequera une baisse du rythme du film, démontrant bien la chose).
  • Les ellipses permettent de ne pas sacraliser le conflit commercial et sa résolution dans le film. les deux éléments importants du récit, outre l'introduction d'Anakin Skywalker) sont l'élection de Palpatine à la chancellerie et la destabilisation de l'ordre jedi par les Sith. S'attarder sur le conflit commercial serait nier qu'il ne s'agit pour Lucas que d'un moyen, un outil, pour déveloper ces deux thèmes. Il aurait été dangereux pour le film que le moyen acquiert une position de finalité, cela rendrait factice le lien avec l'épisode suivant.

En dehors de cela, on ne peut nier le risque qu'a pris Lucas dans son film avec ces ellipses à répétitions, risque qui aurait été impossible de pendre si le film avait été produit par un grand studio hollywoodien, le premier tiers n'aurait en effet pas passé les screen-test, pratique que, par intégrité intelectuelle, Lucas refuse.

Obi-Wan est trop absent dans le film

Les épisodes de Star Wars contiennent tous un ou plusieurs "personnages émergeants". Il s'agit de second ou troisième rôles qui prendront de l'importance jusqu'à jouer au premier plan par la suite dans le meilleur des cas. Obi-Wan a été crée selon ce schéma. De même avec des personnages comme Mace Windu, Bail Organa, Yoda, Jabba, ou, dans une moindre mesure, Wedge Antilles. Le personnage d'Anakin semble aussi correspondre, étant donné qu'il ne bénéficie pas du premier rôle dans la Menace Fantôme. Lucas bénéficie de nombreuses heures pour présenter son histoire, réparties sur plusieurs films : alors qu'un réalisateur lambda se contentera certainement d'une scène pour introduire ses personnages, Lucas peut utiliser un film entier pour ça.

Jar Jar est un pitre

En effet, Jar Jar a été fait pour jouer le rôle d'un pitre. C'était une manière de faire différemment pour Lucas, il ne s'agissait pas de faire de ce personnage un double de C3PO. Il a donc pris le risque (en toute conscience d ela réaction que cela pourrait provoquer) de créer un personnage issu du genre burlesque avec Jar Jar. Le réalisateur a ainsi visionné une multitude de films des années 20 et tous les Buster Keaton, en est sortit Jar Jar. Certes, vous pouvez ne pas aprécier le genre burlesque, mais prenez en compte ces éléments :

  • Le personnage de Jar Jar n'est pas présent dans tout le film, il est par exemple presque absent dans les scènes de Coruscant, où le noeud dramatique commence à se serrer. Voir Jar Jar gâcher le film viendrait peut-être du fait d'être trop focalisé sur lui, et lui donner une importance qu'il n'a pas.
  • Lucas se moque également de son personnage, témoin en sont les situations dans lequel il le met (général de l'armée gungan) mais aussi la vision qu'il donne à ses autes personages (Obi-Wan passe son temps à se moquer de Jar Jar dans le film)
  • Le personnage de jar jar est cohérent avec la volonté de faire de La Menace Fantôme un film jovial. On peut certes remettre en cause cette volonté, mais il s'agit surtout de poser un extrême dans le ton, l'humour, les couleurs, les thèmes et les personnages du film afin de donner un sens à la Prélogie, qui consistera alors à relier deux extrêmes opposés, la Revanche des Sith constituant de cette manière l'antithèse de La Menace Fantôme. Nier cette volonté de faire de ce dernier un film jovial, amusant, et surtout naïf, reviendrait à emputer la Prelogie d'un de ses axes de développement artistique : d'une de ses raisons d'être.
  • Le personnage de Jar Jar n'est pas pour autant inutile au déroulement de l'histoire du film : C'est bien lui qui permet la reconquete de la planète Naboo en donnant l'idée à Padmé et en rapprochant les gungans avec le peuple naboo. Dans ce sens, le traitement du personnage, d'un pitre au grand coeur qui sait montrer une dignité sauavnt d'un mauvais pas ses compagnons s'apparente au parcours heroïque du personnage de Mifune dans Les Sept Samouraïs de Akira Kurosawa. Sans pour autant être aussi développé puisque contrairment à ce denrier, Jar Jar n'est pas un personnage de premier plan dans le film.

Ce dernier point soulève par ailleurs une autre comparaison possible : Le rôle de Chewbacca dans la Trilogie, aussi attendrissant qu'il soit, est tout à fait inutile au developpement de l'histoire, contrairement donc à celui de Jar Jar. Si on eneleve Jar Jar du film, il faudra donc le remplacer par un autre personnage, quel caractère pourait-on donner à celui-ci sans faire répétion avec celui d'un personnage déjà existant et en entretenant la jovialité du film ?

les blagues scatologique associées à jar jar sont de trop.

Les deux scenettes auxquelles la critique fait référence durent moins d'une minute à elles deux. Dans l'hypothèse où le burlesque de Jar Jar atteint un seuil de tolérance en la matière lors de ces scènes (ce qui serait parfaitment compréhensible), est-ce véritablment pertinent de se focaliser sur moins de 0,7% du film pour juger les 99,3% restant ?

Arrangez-vous donc pour cligner des yeux à ces moments précis.

l'humour véhiculé par Jar Jar se destine a des petits enfants tout au plus.

Lors des projections du film sur écran géant, il me semble avoir entendu des hommes et des femmes rire des "gags" de Jar-Jar. Si il est surtout apprécié par les enfants ( c'est le but avoué de Lucas ) Jar-jar est plus détesté des "fans" -tout du moins d'une partie d'entre eux qui se revendique "puriste" mais qui est surtout "trilogiste"- que du grand public, cible numéro 1 de Lucas.

L'herbe sur Naboo ressemble à du plastique.

le Yoda est mal fait.

Darth Maul ne parle pas.

C’est justement ce qui fait sa caractéristique. C’est cette froideur et ce mystère qui entourent Maul qui le rendent menaçant et fascinant. Cette personnalité est justifiée à ce stade de l’histoire par le fait que Sidious n’a alors pas besoin d’un leader politique charismatique tel que le sera Dooku, ni d’une personnalité autoritaire apte à tenir des troupes d’une main de fer tels que le seront Grievous et Vader. Sidious a besoin d’un assassin, d’un bras armé tuant sans l’ombre d’un sentiment : fonction que Maul remplit parfaitement.

Maul ne parle pas non plus lors de son duel, ce qui était pourtant jusque là une tradition pour Star Wars. Cela s’explique par le fait que, le plus souvent, les protagonistes des duels se connaissent et sont unis par des liens forts. Le duel de Maul propose une approche différente : celle d’un tueur à gage éliminant les êtres qu’on lui a désigné, sans jamais laisser ses sentiments personnels interférer avec sa mission.

La course de pod est trop longue, il ne s'y passe rien.

C'est que vous n'êtes pas fan de Formule 1 à la TV. Contrairement à Lucas. Mais il paraît que ce n'est pas pour lui qu'il fait ces films...

La Force a perdu de son mystère avec les midichloriens.

C'est faux, et cette impression est dû incompréhension du concept même des midichlorien. Les midichloriens ne représentent aucunement la Force - comme il l'est expliqué dans le film les midichloriens servent uniquement de lien entre la Force et les être vivants. Ils n'enlèvent en rien le mystère et le mysticisme de la Force... mais expliquent simplement pourquoi tout le monde n'est pas sensible à la Force, et pas au même degré.

Anakin est trop jeune, on ne peut pas s'y identifier, et il ne peut pas se passer de choses passionnantes à cet âge là.

Cette déclaration est une aberration mentale. Mais admettons que face à quelqu'un de particulièrement bête il y ait besoin de se justifier.

Le panel de sujets à l'identification proposés à travers le monde entier recouvre des occurences autrement plus complexes que un enfant. On peut s'identifier à un poisson dans «Nemo», à un drogué dans «Trainspotting», à un jeune trisomique dans «le Huitième Jour», à une prostituée meurtrière plus ou moins lesbienne dans «Monster», etc. S'identifier à un enfant fait appel à des souvenirs qu'une très large majorité de gens ont vécu et est donc très simple.

D'autres grandes histoires ont pour personnage principal un enfant auquel on s'identifie. Par exemple «E.T.», «l'Histoire sans fin», ou «Harry Potter». Et il leur arrive des choses passionnantes. Ajoutons à cela l'âge moyen (et supposé parfois) des personnages de dessins animés, qui doit tourner aux alentours des 8 ans. Sangoku dans Dragon Ball, Dora l'Exploratrice, Satoshi (Sacha) le personnage principal de "Pokémons"... pour ne prendre que les plus populaires. Histoire de ne pas rester uniquement dans les références enfantines, n'oublions pas de citer que "les 400 coups" de François Truffaut est un des films qui ont lancé la Nouvelle Vague du cinéma en France au début des années 60.

Bien entendu il peut tout à fait se passer des choses passionnantes à 10 ans, puisque tout dépend de la volonté et de l'inspiration de l'auteur de l'histoire. N'oublions que Starwars est une histoire inventée, cela ne décrit nullement la réalité, ni un quelconque réalisme.

Jar Jar et anakin ne servent qu'a appeler un public précis.

Pour Anakin, George s'est expliqué lui-même : la justification appartient à la cohérence de l'histoire du film. Le parti pris de l'auteur est de nous faire découvrir les moments dramatiques importants de la vie d'Anakin Skywalker, dont la séparation de lui et sa mère. Séparation qui n'aurait pas semblé crédible avec un Anakin plus âgé, selon George. Quant à Jar Jar, s'il ne servait qu'à appeler ce fameux public, il n'aurait pas été si impliqué dans l'histoire. Les personnages d'ornement ont un rôle bien moins preignant. En outre on peut ajouter que si le "public précis" de Jar Jar est celui des enfants, qui rigolent avec ses maladresses, la promotion du film mettait aussi l'accent sur le fait que Jar Jar est en images de synthèses et constitue une prouesse technique intéressante. La menace fantôme est un film pionnier dans les effets spéciaux ainsi que dans les techniques de production, et rien que pour ça il vaut le détour.

les "oups" d'Anakin sont de trop, ça monre que tout le film n'est qu'une suite d'incidents.

On pourrait aussi dire d'autres très grands films qu'ils ne sont que des suites d'incidents, voyons, ce n'est pas pour ça que «La Menace Fantôme» serait un mauvais film. Maintenant, le parti pris de George est qu'Anakin ne fait pas toujours exprès, c'est marrant, inattendu, et au final, c'est divertissant. Et c'est là l'ambition du film, être divertissant.

N'oublions pas que le point central du film n'est pas la destruction du vaisseau principal du blocus, c'est le drame de la vie d'Anakin, doublé de la venue au pouvoir d'un dictateur. Et ces points précis ne sont absolument pas une suite d'incidents. Ils sont construits de façon complexe, sans être totalement imaginaires puisqu'ils font référence à notre Histoire, et à différents mythes.

Espérer qu'Anakin soit Le Héros qui puise dans ses dernières ressources mentales et physiques la force de détruire les méchants est peine perdue tant cela aurait été ridicule.

On voit bien sur tatooine que la pellicule etait toute floue après le tournage et qu'ils ont essayés de rattraper la sauce tant bien que mal.

Il est proprement inconcevable qu'on puisse rater plusieurs semaines de tournage sans s'en rendre compte pendant celui-ci. Cette rumeur lancée avant la sortie du film et propagée par certains sites et magazines de "fans" n'a aucune crédibilité pour quiconque ayant une idée de comment un film se construit.

Darth maul n'est qu'un jouet, il à pas le charisme d'un vrai sith

Dark Plagueis et Dark Sidious ne sont pas charismatiques non plus. Et pourquoi vouloir rendre charismatique, donc séduisant, un personnage qui incarne tout ce qu'il y a de plus mauvais dans l'homme?

Dark Maul est là pour le divertissement et il remplit amplement son rôle. Il est joliment maquillé, habillé, il bouge à merveille et son combat final est absolument mémorable. Si les productions asiatiques d'arts martiaux n'ont rien à lui envier, le combat de Dark Maul contre les Jedi reste pourtant une référence des fans, qui s'emploient à le reproduire encore et encore dans leurs nombreux "fan-films". De plus c'est un des moments forts du film.

L'exercice de style effectué par George qui consiste à utiliser des techniques asiatiques (non seulement dans la chorégraphie de combat mais aussi dans la façon de le mettre en scène et le filmer) fonctionne parfaitement, et démontre les talents du réalisateur.

Darth Maul meurt betement, on dirait qu'il attend que Obi-Wan le coupe en deux.

La mort de Darth Maul n'est qu'un exemple parmi les diverses morts "stupides" qui parsèment la saga (Boba Fett en est le meilleur exemple...) C'est en fait devenu une marque de fabrique de la saga, et une sorte de "blague" entre Lucas et ses fans. De plus, cela correspond pleinement à la dimension kitsch omniprésente dans tous les films : la mort de Darth Maul reprend le grand classique au cinéma lorsqu'il s'agit de faire mourir un méchant : il est bien connu que lorsqu'un méchant meurt, c'est toujours parce qu'il est trop sûr de remporter la victoire.

On ne comprend pas bien ce que viennent faire ces portes lasers rouges lors du combat final.

Il s’agit d’un artifice typique de nombreux films d’aventure : quand le lieu se permet d’intervenir dans l’action des protagonistes et d’influer sur l’histoire. De la lave lors du duel Anakin/Obi Wan aux vertigineux gouffres de la Cité des Nuages lors du duel Luke/Vader, cet artifice est logiquement présent dans Star Wars. Les portes lasers rouges en sont un autre exemple.

Outre la séparation de Qui Gon et Obi Wan, elles permettent de mettre l’accent sur le contraste psychologique et dogmatique existant entre les Jedi et les Sith, lorsque leur combat est ajourné : là où Dark Maul fait les 100 pas tel un prédateur scrutant sa proie, Qui Gon reste paisible et adopte une position méditative.

Le texte d'introduction n'est pas compréhensible à la première lecture.

La République Galactique est en pleine ébullition. La taxation des routes commerciales reliant les systèmes éloignés provoque la discorde. Pour régler la question, la cupide Fédération du Commerce et ses redoutables vaisseaux de guerre imposent un blocus à la petite planète Naboo. Face à ce dangereux engrenage, alors que le Congrés de la République s'enlise dans des débats sans fin, le Chancelier Suprême charge en secret deux Chevaliers Jedi, gardiens de la paix et de la justice dans la galaxie, de résoudre le conflit....

Il faut probablement être écervelé ou de mauvaise foi pour ne pas avoir compris en quelques secondes de quoi il retourne globalement.

Pourquoi Sidious veut-il que Padmé signe sa reddition ?

Il faut se souvenir qu'un définitive Sidious tire toutes les ficelles et se joue de toute le monde. Il savait que le traité ne serait probablement pas signé, il avait surement connaissance de la présence des Jedi sur Naboo. L'invasion était un prétexte pour en arriver au renversement de Valorum en se servant de la reine Amidala, alors " jeune et naïve " selon ses dires.

Comment fait le sang d'Anakin pour être "envoyé" au vaisseau de la reine par qui gon ?

La bataille spaciale est trop anecdotique.

le vaisseau amiral de la fédération du Commerce n'a pas du tout le même charisme que l'Etoile de la Mort.

Si vous trouvez que des batîments militaires ont du charisme, consultez rapidement un spécialiste. Et puis l'Etoile de la Mort c'est une énorme balle, question "charisme" on a fait mieux. Mais une fois encore c'est le coté affectif et nostalgique qui prends le dessus.

Au final, cet épisode ne raconte qu'une petite histoire anecdotique de conflit commercial, on est loin de la "guerre des étoiles".

Lucas parle d'intérêt historique. La genèse d'un événement important est souvent bien plus important que l'événement lui-même. On aime qu'un film nous montre la Seconde Guerre mondiale; mais s'il nous montre les 15 années qui ont précédé le conflit, comment réagit-on ? Ennuyeux, sans action... mais indispensable pour comprendre les enjeux de ce qui suit.

Toute cette histoire de blocus est tres mal expliquée, si tant est que lucas comprenne ce qu'il veut dire.

la plaine de la bataille Gungan ressemble surtout à un terrain de golf.

Cette plaine verdoyante est à l’image de la planète Naboo : idyllique. L’intérêt réside dans le contraste entre ce monde paradisiaque et les évènements guerriers qui y ont lieu. Symboliquement, le premier des affrontements qui mèneront la République à sa perte se déroule sur une planète représentative de cette grandeur bientôt perdue.

il n'y a aucune stratégie dans la bataille Gungan, juste une bête mêlée.

Le but de cette bataille n’est pas, pour les Gungans, de vaincre, mais de créer une diversion afin de faciliter l’accès au palais pour un autre groupe. Une stratégie est donc bien présente lorsque la bataille de Naboo est vue dans l’ensemble de ses différents groupes de combat.

les répliques de Rick Ollié sont ridicules, ça gâche la scène du forçage du blocus.

Il est ridicule de voir que jar jar détruise plusieurs droides et un tank rien qu'avec sa maladresse.

le film est une propagande christique, preuve en est la nature de Anakin, assimilé à Jésus.

George a expliqué qu'à l'instar de beaucoup de mythes, celui de Starwars contient un héros dont la naissance reste un mystère. Ainsi il ne s'agit pas d'une référence biblique mais mythologique. Il faut aussi penser que le film a été fortement critiqué par certains groupes chrétiens au moment de sa sortie. Il était accusé de piller et de déformer les concepts de la chrétienté. De façon plus globale les Starwars sont allégoriques, les aspects religieux traités dans les Starwars le sont sans parti pris. La Menace Fantôme seule laisse supposer que le côté trop conservateur des Jedi les mènera à leur perte, mais il ne s'agit là que d'une interprétation personnelle, qui ne trouve pas d'eccho dans les deux films suivants.


Anakin est trop angélique pour un futur Darth Vader

L'auteur fait ce qu'il veut de ses personnages. Anakin n'est pas né avec le masque noir et c'est tant mieux. Un gamin qui étrangle tout le monde et qui pointe du doigt en proférant des paroles menaçantes sans arrêt est bien plus ridicule qu'un gamin tourmenté par une séparation.

Il faudrait être bizarre pour s'imaginer que tous ceux qui, adultes, sont devenus d'horribles dictateurs aux mains couvertes de sang ont passé leur enfance à égorger des chats et faire régner l'injustice et l'arbitraire à chaque occasion!

Dans l'Empire Contre Attaque, Obi-wan rappelle à Yoda qu'il était aussi impatient que Luke à son âge. On ne le voit pas.

Obi-Wan dit qu'il était aussi impatient que Luke quand Yoda a commencé sa formation , il était donc encore un enfant, et c'est une période de sa vie qui n'est pas traitée dans les films.

Dans l'Empire Contre Attaque, Obi-Wan dit que c'est yoda qui lui a tout appris. On ne voit pas cela dans la Menace Fantome.

C'est un défaut de la VF. En VO, Obi-Wan dit: "The Jedi Master who instructed me." On voit bien dans l'Attaque des Clones que Yoda assure la formation de tous les Jedi dans leur enfance, durant laquelle ils apprennent l'essentiel de ce qu'ils savent. Et même après être passé sous le patronnage de Qui-Gon, Obi-Wan continue à se référer davantage à Maître Yoda qu'à Qui-Gon.

le milieu du film est incroyablement pénible à suivre, c'est trop lent (tatooine et coruscant).

le debut du film est frénétique, il est impossible de comprendre quelque-chose en ne le regardant qu'une fois.

La bataille gungan est trop symétrique, trop parfaite.

Arguments contre l'Attaque des Clones

La scène du "rodéo" est ridicule, trop cliché.

La scène dela cheminée est niaise, Anakin y parait ridicule.

la présence de Boba Fett n'a pas d'autre intérêt que de faire plaisir aux fans.

La présence de Boba s’inscrit surtout dans la lignée visant à ce que la Prélogie apporte un regard neuf sur la Trilogie Originale. Dans les Episodes 5 et 6, Boba n’était qu’un personnage très opaque, en dépit de son charisme ; il acquiert désormais une dimension supplémentaire grâce à son implication dans l’un des événements majeur de la galaxie. Qu’il soit mêlé à la création de l’armée de clones lui confère l’ora d’un personnage historique.

Il y a trop de scènes sur Naboo.

Les scènes sentimentales sonnent faux.

la scène où padmé se relève du sable est ridicule.

le combat Dooku/Yoda est ridicule.

La naissance de la relation amoureuse entre Anakin et padmé ne vaut pas celle de Han et Leia.

on ne sait pas qui est Sypho Dyas, alors qu'il semble être la clef de voute du film.

les jedi ne tiquent pas en voyant que leur armée de clone a été conçue à partir de Jango, un allié des séparatistes.

Comment padmé rtrouve-elle le hangar du duel à la fin du film ?

Il aurait fallu voir le massacre des tuskens à l'écran.

La fin du film est gâchée par les pitreries de C3PO.

Dooku dit que les neimoudiens ont été roulés par Sidious, comment cela s'est-il passé alors qu'ils sont encore aux service de celui-ci dans l'épisode suivant ?

Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes montre que les gentils sont plutôt les séparatistes dans cette histoire.

Dans ce cas, on peut considérer que les Etats sudistes esclavagistes sont les "gentils" de la guerre de Sécession. De toute manière, ce ne sont pas des peuples qui font sécession ici mais des guildes commerciales et industrielles. Dans Star Wars comme dans l'Histoire réelle, la voix des peuples compte quasiment pour du beurre et Lucas le sait.

les figurants jedi se battent tres mal en arrière-plan dans la scène de l'arène, ils tappent plus ou moins dans le vide.

la bataille de génonosis manque de lisibilité.

Lucas a diminué le rôle de jar jar juste parce qu'il voulait pas se mettre ses fans à dos.

Lucas a toujours voulu faire son film, et s'est peu soucié du mécontentement qu'il aurait pu générer. S'il avait écouté une partie des fans, il aurait créee une prélogie qui n'aurait été qu'une trilogie bis. Dans le cas de Jar Jar, Lucas s'est permis la liberté de mettre un personnage décalé, drôle, un peu lourd aussi ( tout comme C3-PO en son temps ) dans le film qui plante le décor ( La Menâce Fantome ) Par la suite, l'intrigue s'épaissit et Jar Jar est plus en retrait. Il est omniprésent dans le premier film, puis visible quelques minutes dans le second, pour disparaître dans le dernier. Lucas s'est surtout servi de Jar-Jar comme étant celui qui venait d'une contrée perdue et qui se retrouve un des pions de Palpatine lorsque celui-ci veut se faire accorder les pleins pouvoir dans L'attaque des clones.

Lucas gâche sa saga en donnant à Jar Jar le rôle du sénateur qu donne les plein pouvoirs à Palpatine.

Il est au contraire intéressant de constater que ce personnage balourd et gaffeur, au moment où il a obtenu une certaine crédibilité, va commettre sa gaffe la plus grande et la plus lourde de conséquences : légitimer et donner, sans le savoir, les pleins pouvoir à l’incarnation du Mal. Cela s’inscrit dans la lignée des interventions du personnage et donne peut-être un indice au spectateur quant à la faute commise et sur à la véritable nature de Palpatine.

L’empressement et l’enchaînement précipité des évènements font commettre des erreurs et aboutissent à de mauvaises décisions prisent à la va-vite, en dépit de bonnes intentions : Jar Jar est un très bon personnage pour représenter cela.

Si les séparatistes ont commandés l'armée de clones, pourquoi ont-ils attendu que la République s'en empare alors qu'avec celle-ci et l'armée droïde, ils auraient pu l'écraser de suite ?

Tout simplement parce que Palpatine tire toutes les ficelles et qu'il a besoin d'une guerre longue et pénible, opposant République ( Clones ) et Séparatistes ( droïdes ) pour se voir accorder les pleins pouvoirs et prolonger ses mandats et à terme renverser la République. De plus, les commanditaires de cette armée ne sont autres que les Sith

la révélation de Dooku sur les Sith lorsque Obi-Wan est emprisonné n'a pas du tout la même ampleur que celles de l'Empire Contre Attaque. le ton est plus celui de la simle conversation.

Yoda est en image de synthèse ! Quelle trahison envers Frank Oz !!!

On voit Yoda se battre au sabre, c'est totalement contradictoire avec le personnage ! Un grand maître jedi comme lui n'aurait nul besoin d'utiliser un sabre laser. C'est indigne de lui.

Bien au contraire ! Le sabre est l'arme des Jedi et un symbole de leur noblesse. En temps que Maître Jedi il est normal que Yoda soit également un Maître dans l'art du sabre laser, c'est avoir recourt à d'autres méthodes de combat qui aurait été indigne de lui. Les Jedi sont les garant de la paix, mais cela implique également de se battre quand il le fut. Il aurait incohérent de la part de Yoda de refuser le duel de Dooku (tout comme il n'aurait pas été cohérent de sa part de ne pas tenter d'affronter Sidious dans l'Episode III). De plus le faît que Yoda soit reellement au premier plan de la guerre et des combats dans la Prélogie, ne donne que plus de crédit à son "Personne par la guerre ne devient grand" dans la Trilogie Originale.

Arguments contre la Revanche des Sith

Le texte défilant dit qu'"il y a des héros dans les deux camps". Je ne vois aucun héros parmi les Séparatistes.

Des figures emblématiques comme le Comte Dooku et le Général Grievous font en tout logique office de héros aux yeux des Séparatistes.

Le passage d'Anakin dans le Coté Obscur est trop rapide.

Il dure une heure et demi si on considère le film; et près de cinq heures si on considère la saga, et qu'on fait débuter ce passage à la sensation de froid intense (et affectif) qu'éprouve Anakin en quittant Tatooine.

La réplique de Vader dans le Retour du jedi "Obi-Wan a eu la même idée que toi" n'est pas cohérente avec la Revanche des Sith.

Dans le film c'est Padmé qui demande à Anakin de venir avec elle. Puis Anakin en voyant Obi-Wan est persuadé que c'est lui qui a influencé Padmé. Pour Anakin comme pour Vador, l'idée provient donc d'Obi-Wan.

La mort de padmé n'est pas cohérente avec le Retour du Jedi

Ce n'est pas vraiment une incohérence, plutot une bizarrerie. On reconnait clairement Padmé dans la description faite par Leia. Elle dit qu'elle ne se souvient que d'images ou d'impressions, et qu'elle était très jeune quand sa mère est morte, ce qui jusque la colle avec la scène de la Revanche des Sith. La ou le bat blesse, c'est quand Luke dit qu'il ne l'a jamais connu. Pourquoi Leia s'en souviendrait-elle et pas lui ? C'est le seul vrai probleme de cohérence de la saga.

La bataille spatiale est trop courte.

Cette séquence dure approximativement 7 minutes. Pourtant l'objectif n'était pas de s'étendre sur une scène de guerre, mais surtout de donner un aperçu d'une bataille de la guerre des clones. Ici Lucas veut surtout nous montrer, outre les talents de pilotes d'Anakin, la relation complice entre le maître et son élève. Cette bataille n'avait donc pas vertu à durer longtemps, c'est une scène de présentation ou le spectateur doit s'immerger pour être pris dans le film.

la bataille spaciale se concentre trop sur les deux chasseurs, on voit pas ce qu'il se passe à coté.

la bataille de Kashyyyk n'a pas d'autre interet que de faire plaisir aux fans.

En fait l'intêret de la bataille de Kashyyyk réside surtout dans le fait qu'il fallait trouver un prétexte pour que Yoda se trouve éloigné de Coruscant pour ne pas anticiper et contrecarer les projets de Sidious. Il est vrai qu'en soi Lucas aurait pu faire se dérouler cette bataille sur un autre planète, peuplé d'autres créatures, mais c'est aussi un moyen de nous montrer les Wookies, de présenter leur courage et leur sens du sacrifice. Il y a probablement aussi l'envie de la part de Lucas de faire un clin d'oeil aux fans, en particulier grâce à Chewbacca

le maquillage de Sidious ne correspond pas à celui du Retour du Jedi.

la scène de la naissance de Vader est ridicule. Ce pas suffit à gâcher la fin du film.

Dans une scène évoquant une naissance, il est normal que le protagoniste soit hésitant lorsqu’il fait ses premiers pas. Logique que Vader ait la patte un peu raide tandis qu’il utilise ses prothèses pour la première fois. Au-delà de ces aspects matériels, il faut également voir ici un clin d’oeil à la démarche de la créature de Frankenstein ; toute la séquence de la naissance de Vader y fait par ailleurs référence.

L’ensemble de la scène a parfois été qualifié de ridicule parce que trop théâtral et ne correspondant pas à l’image glacée que le spectateur avait de Vader. Mauvais point de vu, a fortiori lorsque la saga est regardée dans l’ordre : cette scène est autant celle de la naissance de Vader que celle de la mort d’Anakin. Ce n’est pas Vader qui demande « où est Padmé », qui se tord de douleur et hurle après avoir appris sa disparition, mais bien Anakin, dont nous voyons les derniers semblants d’humanité disparaître sous nos yeux. La Vader glacial, monolithique et impassible n’apparaîtra qu’après ce dernier sursaut d’Anakin.

Kashyyyk ne ressemble pas du tout aux descriptions des romans de Zahn.

Lucas ne s'est jamais soucié de la cohérence avec l'univers étendu, qu'il considere comme un "univers parallele". En l'occurence, il a fait Kashyyyk selon sa propre vision (qui date des premiers scripts d'ANH) et non pas selon celle de Zahn.

Comment un robot comme Girevous peut-il tousser?

Tout simplement parce que Grievous n'est pas un robot mais un alien a moitié machine qui possède des organes - et donc des poumons - que nous voyons quand Obi-Wan lui ouvre la cage thoracique à la main. Il fait d'ailleurs échos à l'être que va par la suite devenir Dark Vador.

Gievous avec ses 4 sabres : c'est de la surenchère.

En effet, et la surenchère est presque un principe pour George. Si on peut faire plus, George fait plus. En réalité, les 4 sabres de Grievous sont anecdotiques par rapport à la somme phénoménale d'éléments que contient un Starwars. En particulier dans les films de la Prélogie, plus aboutis dans cette démarche, les plans sont complexes, les décors toujours plus nombreux, plus denses, les personnages plus nombreux, les vaisseaux, les costumes...

Sidious ne doit pas se battre au sabre, il est "au dessus de ça".

Sidious est un Seigneur Sith. Par définition li est forcément un maître au sabre laser. Vous pensez vraiment que Darth Maul a appris à se servir de son sabre tout seul ?

le combat Mace/Sidious est trop exagéré.

Au final, on n'est pas plus avancé vis à vis de la prophétie.

Pas si on prends encore une fois le temps de regarder Star Wars comme une saga de 6 films, où le fils rachète les fautes du père. Anakin était potentiellement l'élu mais il a échoué dans l'épreuve ultime. De plus, Yoda résume bien la chose " Une prophétie qui mal interprétée aurait put-être". Cette prophétie n'est pas forcément une vérité, mais une croyance ancestrale et dogmatique.

Au final, on apprend juste que Anakin est le fils caché de Plagueis, c'est nul.

La mention sur Qui Gon vient comme un cheveu sur la soupe, on dirait que c'est juste là pour servir les exigences des fans.

On ne sait pas pourquoi Obi-Wan est appelé Ben dans les épisodes suviants.

Un peu de sérieux. C'est evidemment pour dissimuler son identité. Cela ne nécessite en rien une explication.

Pourquoi ne voit-on pas dagobah ?

Une scene ou Yoda y atterit a été réalisée (elle est d'ailleurs visionnable dans le DVD des bonus parmi les scènes coupées), mais Lucas a préféré ne pas l'inclure dans le film. En effet, la fin de l'Episode III est centrée sur la famille Skywalker. La scène avec Yoda paraitrait donc assez déplacée.

Comment se fait-il qu'il ai fallu 20 ans pour fabriquer l'Etoile Noire alors que c'est beaucoup plus rapide pour celle du Retour du Jedi ?

Lucas l'explique lui-même dans le commentaire audio: c'est un prototype, difficile à concevoir. L'Etoile de la Mort a connu une construction plus rapide grâce à l'expérience acquise et aux structures déjà en place, de plus elle est loin d'être aussi aboutie que la première. Durant la guerre, il n'était pas rare qu'il fallût deux ou trois ans pour mettre au point une arme nouvelle (un canon ou avion) et quelques jours pour construire le modèle en série.

Il y a un faux raccord à la fin du film sur Tatooine.

On ne voit pas la naissance de l'Alliance, c'est intolérable.

La Revanche des Sith se présente comme un film noir et dramatique, une tragédie qui ne fait qu'empirer alors que le film avance avec un sentiment de désespoir constant et grandissant. Dans cette noirceur, seul les dernières minutes du film présente une une note d'espoir représente par le "Nouvel Espoir" que sont Luke et Leia. Montre la création de l'Alliance Rebelle et les prémises d'une résistance contre l'empire n'avait pas sa place dans un film qui au final se concentre sur le personnage d'Anakin Skywalker et sa chute, et aurait également diminué inutilemetn l'intensité dramatique et et le côté désespéré du film.

Les jedi accompagnant mace dans la scène de l'arrestation se font tuer sans se battre.

Il aurait fallu voir Anakin tuer les younglings.

Ce type de violence gratuite est hors de propos et complètement en décalage avec l'esprit Star Wars. La suggestion du meurtre par l'allumage du sabre d'Anakin produit un effet cinématographique et émotionnel bien plus fort.

Par ailleurs, la scène est d’une certaine manière bel est bien présente dans l’esprit du spectateur, par un phénomène d’association. Lorsque Obi Wan voit les corps des younglings et demande à Yoda « qui a pu faire ça  ?» lui répond un plan d’Anakin décimant les Séparatistes : les deux scènes ne font qu’une par affiliation. Ce procédé est bien plus subtil narrativement et cinématographiquement qu’une succession de scènes de massacre.

Pourquoi Yoda s'avoue vaincu aussi facilement?

Les pirouettes de Sidious sont indignes de lui.

Pourtant un homme qui maîtrise le coté obscur de la force doit pouvoir se défendre..S'il n'utilisait que ses éclairs, il aurait été vaincu par les Jedis qui savent les parer à l'aide de leur sabre. Au contraire, en temps que Sith très puissant, il doit être capable de toute les acrobaties pour vaincre son adversaire.

Obi-Wan, qui représente le bien dans le film, tourne son dos à Vader qui agonise, c'est inhumain.

Obi-Wan doit détruire Anakin mais ne peut se résoudre à le tuer de sa main. Il préfère qu'il se détruise lui-même par sa haine, et ce n'est que justice considérant les crimes de Vader.

Dooku meurt dès le début du film, autant ne pas l'y mettre.

Il n'a aucune utilité, vivant, dans le film, Sidious le sait et le dit. Par le parallèle fait avec le Retour du Jedi, on voit bien que sa mort s'insère tout de même dans le processus de conversion d'Anakin au Côté Obscur. Dooku sert également à faire une transition avec l'épisode précédent.

Anakin regrette d'avoir provoqué la mort de Mace juste avant de faire allégance à Sidious, c'est incoherent.

Au contraire, Anakin est désorienté, il n'est ni bon ni mauvais. Il ne fait pas allégance à Sidious parce qu'il est devenu profondément méchant. Il n'agit que pour sauver Padmé à ce moment du film, et pour cela il est prêt à se sacrifier en passant sous les ordres de Sidious

Le voyage de Padmé pour Mustafar est bien trop rapide.

La notion de temps dans Star Wars est particlière. Pour ce qui est des voyages spatiaux, même avec la vitesse-lumière, il faut un certain temps pour se rendre d'un point à un autre. Tout ce qui est montré dans les films ne se suit pas à la seconde près, et pour des raisons de commodité évidente, on ne voit pas tout ( contrairement au principe de 24h/chrono ). C'est un principe qui est d'ailleurs repris dans une majorité écrasante de films et de séries : les voyages ne durent jamais aussi longtemps que dans la réalité. A vous de voir si Revenge of the Sith aurait du durer 5 ou 6 heures juste pour voir Padmé se déplacer dans son vaisseau pour rejoindre Mustafar

Le texte d'introduction est ridicule de kitscherie.

Le kitsch est partie intégrante de Star Wars depuis 1977, jusque et surtout sur l'affiche originale du film avec son Luke "Schwarzenegger" Skywalker, sa Princesse "Lollobrigida" Leia et sa flotte rebelle démultipliée.

Dark Vador est trop petit ! Ca se voit que Hayden Christensen n'a pas la carrure de David Prowse

Arguments contre la prélogie en général

Il manque un baroudeur amusant comme han Solo.

L'intérêt de la prélogie est aussi de présenter des personnages différents de ceux de la trilogie originale. Han Solo avec son côté "baroudeur galactique" à la particularité d'être un personnage unique dans la galaxie Star Wars (du mons en ce qui concerne les films). Créer un personnage "à la Han Solo" aurait été d'un intérêt douteux, et n'aurait pu que diminuer le charme du personnage de Harrison Ford.

Maul, Dooku ou Grievous, les méchants de la Prélogie sont jetables et ne dure guère plus d'un film. Cela empêche de créer un méchant avec un réel développement à l'image de Dark Vador

C'est tout simplement le but recherché. Maul, Dooku ou Grievous, tous les méchants de la Prélogie ne sont effectivement que des pièces sur l'échiquier galactique, de simples pions pour Dark Sidious qui se contente de les manipuler à sa guise, et de les remplacer quand nécessaires. Ces personnages ne sont nullement supposés avoir la profondeurs de Vador, et servent en fait deux fonctions - la première de représenter chacun un aspect futur d'Anakin/Vador (Maul - l'arme soumise à son maître Sidious ; Dooku - le Jedi Déchu ; Grievous - la Machine) - et la seconde d'établir Dark Sidious comme le véritable méchant de Star Wars manipulant ses soi disant alliés et s'en débarassant aussi facile que ses ennemis quand son intérêt est en jeu.

Il manque des scènes dans l'espace avec les héros regroupés dans un cockpit.

Yoda n'a pas la même personnalité que dans l'Empire Contre Attaque.

Dans l'Empire Contre attaque , Yoda est éxilé sur Dagobah depuis presque 20 ans, il y vit seul, à méditer. Pourtant quand Luke arrive il semble malicieux, comique, un peu enfantin. Mais ce n'est que pour "tester" Luke, car par la suite, lorsqu'il enseigne les voies de la force au jeune Skywalker, il ressemble plus au Yoda de la prélogie : sage, sérieux et patient. Dans les Episodes IV,V et VI Yoda est le plus grand des Jedi, a de grandes responsabilités avec le Conseil, mais les évènements qui se produisent sont graves, ce qui explique qu'il ne soit pas enclin à être plaisantin comme avec Luke. On peut néanmoins remarquer plusieurs passages dans la prélogie ou Yoda a le regard malicieux, notemment quand il enseigne aux Younglings

la politique est trop présente.

Normal ! pour qu'une République qui existe depuis 1000 ans soit soit remplacée par un Empire, et que cela se fasse de façon progressive avec des enjeux suffisament importants pour faire une intrigue, la politique est présente en toile de fond de la prélogie. Mais l'histoire principale reste celle d'Anakin et des siens

En règle générale, le jeu d'acteur est moins spontané que dans la Trilogie, on à vraimment l'impression que les acteurs lisient un prompteur.

Le jeu d'acteur est surtout plus solennel. La où la Trilogie se situait plutôt dans les "bas fonds" de la galaxie et au milieu d'une résistance formée d'êtres de toutes sortes, la Prélogie se situe principalement dans les hautes sphères politiques de la République, et l'Ordre Religieux des Jedi - ce qui explique que la tonalité générale soit plus solenel tant dans les dialogues que leurs interpretation.

il y a trop de "méchants jetables" qui sont interessants mais meurent sans avoir le temps de faire quoi que ce soit.

Lucas a dit qu'il n'a pas plus développé Darth Maul, le Comte Dooku ou encore le General Grievous pour ne pas qu'ils fassent de l'ombre à Darth Vader. Et leur disparition rapide ne fait que mettre en valeur celui qui les manipule comme de simples pions : Darth Sidious, qui est LA figure du mal de la saga.

Il y a beaucoup trop d'effets spéciaux, on n'y croit pas autant qu'avec les maquettes "en dur"

Il y a plus de maquettes et de miniatures dans un seul épisode de la prélogie que dans la totalité de l'ancienne trilogie.

le ton général est enfantin, il n'y a pas de violence, on est loin des corps carbonisés de Owen et Beru dans Un Nouvel Espoir.

Pourtant on a jamais fait plus gore que le lifting d'Anakin dans la Revanche des Sith. Et ce n'est qu'un exemple. Si on s'y attarde un peu, on comprend rapidement que le ton de la prélogie est plus adulte, plus grave, que l'intrigue est bien plus complexe que dans la trilogie. le troisième opus de la saga contient - et de loin- plus de violence que tous les autres épisodes réunis.

On explque trop de choses dans la Prélogie, il n'y a plus de mystères.

il n'y a pas de scenario dans ces films.

les effets spéciaux sont pas crédibles : on croirait jouer à un jeux-Vidéo.

C'est vrai que j'ai du mal à faire la différence entre les visuels du film et Racer sur ma Playstation 2

Toutes les scènes à effets spéciaux ne sont là que pour vendre un futur jeu-vidéo.

On a dit cela pour la scène de la fonderie droïde: on attend encore le jeu vidéo qui comporterait un tel niveau. Pour la scène de la course de modules, il est douteux que Lucas y ait dépensé 20 millions de dollars dans le seul but de vendre 50 000 boîtes de "Star Wars: Racer" à 50$ chacune.

La profusion d'aliens ne sert qu'à vendre des jouets.

Pourtant ce ne sont pas les aliens au rôle peu important qui font exploser les ventes de figurines. TOut au mieux elles sont surtout prisées par les afficionados qui collectionnent tout. Les aliens ne sont jamais crées par hasard : soit ils sont directement impliqués dans l'histoire, soit ils sont de simples figurants. Mais même si ces Aliens avaient été des personnages humains, nul doute qu'ils auraient eu droit à leur figurine

La Prélogie, il n'y a que les nouveaux fans qui l'aiment bien.

Sentence péremptoire qui ôte d'emblée à chaque individu la liberté d'avoir ses propres goûts, sa propre opinion voire même - ô horreur - d'aimer la prélogie tout en ayant été un fan de l'ancienne trilogie. On comprend que la chose soit incompéhensible aux esprits obtus.

Les vaisseaux et droïds sont plus modernes que dans la Trilogie.

Ce contraste est voulu afin de mettre l’accent sur le fait que la République est une faste période de prospérité, là où l’Empire est une ère de régression et d’austérité. Il était important d’avoir des références visuelles distinctes afin de bien nuancer ces deux ambiances et époques. La période durant laquelle la galaxie a sombré dans le totalitarisme voit logiquement des vaisseaux et des droïds faits de bric et de broc, où l’utilitaire prime et où tout ce qui est superflu a été supprimé.

L'aspect "tout est très propre" est exaspérant.

Encore une fois, cette propreté se veut un contraste avec l’aspect sale et usé de la période impériale. Contrairement au tout-utilitaire de cette période, l’ère républicaine correspond à un temps de paix et d’aisance où l‘on peut se permettre de se soucier de l’apparence des choses. Le fait de trouver exaspérante la « propreté » de la Prélogie pour une simple raison d’esthétique serait aussi idiot que de ne pas supporter de se salir les yeux en regardant les vaisseaux crasseux de la Trilogie Originale.

A noter que La Revanche des Sith fait là aussi office de transition puisque cette ambiance parfois immaculée commence à se ternir, conséquence de la guerre des clones.

les costumes de padmé deviennent ridicules par leur sur-enchère.

Il n'y a pas de références mythologiques dans la prélogie comme il y avait dans la Trilogie.

C'est que vous n'avez pas saisi les références suivantes ( liste non exaustive !) : Les chevaliers de la table ronde, Le mythe de l'immaculée conception, la figure de l "Elu" également présente dans de nombreux mythes et prophéties et notamment dans la Bible; on peut noter des références historiques en comparant l'ascension de Palpatine à celle de l'empereur Auguste ou encore à Hitler...il y a aussi des références aux films Ben-Hur, au Parrain...

Les CGI vieillissent plus vite que les maquettes.

On a perdu le charme du manichéisme d ela Trilogie, tant au niveau des situation que des personnages.

Aucun des designeurs de la prélogie n'a l'expérience, le talent et l'inventivité de Ralph mcQuarrie.

ce n'est pas "les effets pour le film", mais "le film pour les effets".

La prélogie n'a aucun intérêt : on sait comment ça va se terminer.

La prélogie n'a pas vocation à être vue après la trilogie originale. Lucas l'a justement conçue pour que les prochaines générations découvrent la saga dans l'ordre des épisodes.

Aucun moment dans la prélogie ne vaut celui du "je suis ton père".

Et aucun moment de l'ancienne trilogie non plus ? Alors vous n'êtes pas un fan de Star Wars, mais de "I'm your father". Réduire 6 ou 12h de film à une simple réplique, c'est être intellectuellement bien réducteur.

les combat au sabre laser de la prélogie ne sont que des démonstrations de kung-fu, il n' a pas d'intensité dramatique.

on ne vois pas de saut dans l'hyperspace avec les étoiles qui s'allongent alors que c'est un élément fondamental de l'esthétique Star Wars depuis 1977.

Arguments contre la trilogie

Arguments contre un Nouvel Espoir

Arguments contre l'Empire Contre Attaque

Dark Vador est le père de Luke ? C'est totalement ridicule et incohérent avec les paroles d'Obi-Wan dans le premier épisode

Arguments contre le Retour du Jedi

La confirmation de la paternité de Vador par Yoda arrive bien vite aprés le questionnement engendré par la révélation à la fin de l'Empire Contre-Attaque

Le Palais de Jabba ressemble au Muppet Show. C'est ridicule !

Le début du film et le sauvetage parait très lent et hors sujet avec le reste du film

L'empereur est caricatural et frise le ridicule. Quelle honte comparé à Dark Vador !

Il ne fallait pas montrer le visage de Dark Vador. Cela gache tout le personnage !

Dark Vador qui trouve sa Rédemption ! Quelle idée stupide !

Le duel final n'est pas à la hauteur de celui de l'Empire Contre Attaque =

Les ewoks sont ridicules ! C'est pour les gamins !

Star Wars est souvent kitsch et volontairement un peu ridicule et Star Wars n'a jamais visé un autre public que les gamins...

On peut aussi trouver que les Ewoks sont charmants et très rigolos...

Les ewoks ne sont qu'une opération marketing destinée à vendre plus de jouets et de peluches !

Il n'est pas crédible de voir des troupes impériales suramrées se faire battre par des oursons miniatures !

Personne ne croyait non plus que la toute-puissante armée américaine allait repartir Gros-Jean comme devant du Viet-Nâm, battue par une bande de va-nu-pieds armés de trois Kalashs et cinq bazookas...

Ce n'est pas David Prowse qui est sous la masque de Vador ! C'est une honte et insultant envers ce talentueux actuer !

Une seconde Etoile Noire ? Le Retour du Jedi n'a aucune originalité et se contente d'être un pale remake d'Un Nouvel Espoir

Faire de Leia la soeur de Luke est incohérent et n'est qu'un pretexte idiot pour résoudre le triangle amoureux entre Han, Luke et Leia

Malgré la destruction de l'Etoile de la Mort il n'est pas crédible que la flotte rebelle ne soient pas vaincue par la flotte impériale

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La méthode de l'Empereur pour attirer Luke du côté obscur est grossière. On est loin de la subtilité dont il a fait preuve avec Anakin.

Arguments contre la trilogie en général

Les combats au sabre sont beaucoup trop lents par rapport à ceux de la prélogie

Cela peut s'expliquer facilement. Darth Vader a subi d'importants dommages physiques, et Obi-Wan a la soixantaine. Luke, lui, a eu une tres courte formation et est loin d'avoir autant d'experience au sabre que les combattants de la prélogie.


Arguments contre les films en général, ES ou EDVD

Edition Spéciale

Lucas a violé mon enfance.

Il faudrait penser à consulter un spécialiste.

En faisant l'Edition Spéciale (et les suivantes), Lucas a détruit l'oeuvre historique Star Wars, les films originaux ne sont de fait pas les versions actuelles, et sont perdus à jamais.

Et bien remballez vos mouchoirs car une édition DVD de la trilogie originale ( donc antérieure à l'édition spéciale) est prévue pour le 12 Septembre.

Lucas ne modifie ses films que pour gagner plus d'argent, les fans sont pret à repayer pour un film dont seules 30 secondes différent.

Lucas modifie constament ses films car comme beaucoup artiste c'est un perfectionniste et un éternel insatisfait. Comme il le dit lui-même "On ne dort pas un film, on l'abandonne," et il ne peut s'empêcher de vouloir finir son film. Le cas de Star Wars est également à part car il présente une vision "organique" de la réalisation d'un film - pour Lucas Star Wars a été une oeuvre en création et évolution constante pendant 30 ans. Pour ce qui est des fans, Lucas n'est pas responsable de l'addiction de certains fans qui semble se sentir obliger à racheter cinquante fois la même chose parce qu'il y a une chaquette différente ou un bonus en plus. Lucas ne force personne à racheter ses films. Personne n'a de couteau sous la gorge.

Un artiste ne retouche pas son oeuvre une fois accomplie, quelque soit l'art dans lequel il exerce.

Que faut-il penser de Tolkien modifiant Bilbon le Hobbit des années après l'avoir écrit, ou des peintres qui ont réalisé de nombreuses versions successives de leurs propres tableaux, repeignant même parfois par-dessus, comme le Cri d'Edvard Munch ?

Lucas n'est ni le premier, ni le dernier à effacer ou modifier une partie de son oeuvre, mais comme c'est un cinéaste populaire et pas un membre de l'intelligentsia, on lui refuse la moindre liberté.

Une fois l'oeuvre montrée au public, c'est au public qu'elle appartient et plus à l'artiste, celui ci n'a donc pas le droit moral de le reprendre, ce serait comme du vol.

Faire tirer Greedo en premier n'est qu'une tentative pour édulcorer Star Wars.

Même en tirant le premier, Han Solo est loin de ressembler à John Nada ou Snake Plissken.

Difficile d'édulcorer un film déjà ultra-disneyien dans sa forme.

Faire tirer Greedo en premier détruit la pronfondeur du personnage de Han Solo, i avait une ambiguité qui collait mieux à son rôle de "mauvais garçon".

Cela ne change absolument rien à la nature du personnage, puisque dans les deux cas Han agit en état de légitime défense.

Faire tirer Greedo en premier casse la montée de l'effet dramatique mis en place les instants d'avant où on voyait Han la main sur la gachette.

La scène de Jabba dans Un Nouvel Espoir n'apporte rien de nouveau, c'est donc un ajout inutile, juste là pour attirer les fans.

Si la scène de Jabba n'apporte dans l'asbolu rien d'essentiel en se plaçant dans l'optique d'Un Nouvel Espoir tout seul, elle a contraire une importance sur l'ensemble de la trilogie. Elle démontre le relation pré-existante entre Han et Jabba, et que la confiance que lui accordait ce dernier, et sert ainsi à étoffer et développer le personnage de Jabba (et ainsi expliquer sa colère devant la double trahison de Han) ainsi que sa relation avec Han Solo. Qui plus est, elle corrige également une incohérence existante entre les versions originale d'Un Nouvel Espoir et de l'Empire Contre-Attaque, puisque dans l'Episode IV Greedo dit que Jabba a mis la tête de Han a pris - et que dans l'Empire Contre-Attaque (se déroulant pourtant plusieurs années plus tard) on apprend que Jabba vient *tout juste* de mettre un prix sur la tête de Han. La scène de Jabba explique donc pourquoi ce dernier avait retardé l'échéance, donnant ainsi une dernière chance à Han de régler ses dettes.

La scène de Jabba dans Un Nouvel Espoir ennule l'impact de la découverte de ce personnage dans le Retour du Jedi après en avoir entendu parler les épisodes précédents.

Jabba étant introduit dans l'Episode I de Star Wars, la question est donc caduque.

Voir Vader regagner son Destroyer à la fin de l'Empire Contre-Ataque vient comme un cheveu sur la soupe et gâche le rythme de cette fin de film.

Voir la Cité des Nuages avec de larges baies vitrées gâche le côté claustrophobique et très mystérieux qu'avait cette citée auparavant.

Il n'a jamais été question à l'origine pour la Cité des Nuages d'être ainsi cloitrée, comme le montre d'ailleurs les illustrations d'époque de Ralph Quarrie (trouvable sur son propre site http://www.ralphmcquarrie.com/). Bespin devait être une ville dans les nuages futuriste dôté de grandes vitrées dès le départ, et cela n'a été coupé que devant l'impossibilité technique et le manque de moyens de l'époque. Cela fut l'une des plus grosses déceptions du réalisateur Irvin Kershner qui n'a jamais eu l'intention de créer un côté "claustrophobique" à Bespin, et c'est en grande parti pour faire plaisir à son ami et mentor que George Lucas a remanié la Cité des Nuages dans l'Edition Spéciale de l'Empire Contre-Attaque

La danse dans le palais de Jabba dans le Retour du Jedi est inutile, typiquement le genre de changements juste pour montrer qu'on sait faire des créatures en images de synthèse.

Tout est relatif. Le dance du palais de Jabba était déjà critiqué dans sa version initiale pour être trop "muppet show", alors il faut savoir. On pourrait aussi raisonablement argumenter que c'est la scène de danse qui est inutile en soi, quelle que soit la version du film.

l'ajout des plans du Wampa empeche le spectateur de vor la scène avec les yeux de Luke, le spectateur se détache du film c'est donc négatif.

Les nouveaux vaisseaux en 3D vieillissent déjà plus mal que ne l'avaient fait les anciens en maquettes.

Qui fait vraiment la différence ?

Les impacts des lasers sur les officiers imériaux ont été changés : plutot que d'avoir une gerbe de laser au moment de l'impact, on n'a plus qu'une petite fumée, ce qui adoucit grandement la violence de la chose.

Cette modifiction apparait plutôt être dans un soucis de cohérence. Il s'agit en effet du seul film sur les six épisodes où les impacts de blaster causer de telles gerbes fumantes. Penser qu'il s'agit d'une censure censer adoucir le film est illogique tant cela imperceptible, d'autant que le film garde toujours les gros sur les squellettes encore fumant de l'Oncle et de la Tante de Luke - scène bien plus violente et choquante que quelques impacts de blasters.

Voir Han Solo marcher sur la queue de Jabba est une pitrerie digne de Jar Jar, le grand Jabba, chef de la pègre, l'aurait éxécuté rien que pour ça.

Il aurait pu... Si Han n'avait pas immédiatement prononcé les mots magiques: "remboursement intégral" et "petit extra".

Techniquement, lors du tournage, Ford tournait autour d'un acteur humain qui devait être remplacé par une créature en stop-motion qui n'était pas encore une limace. Quand Jabba a été composé en CGI, sa queue a posé problème: plutôt que de faire passer Han à travers, ILM a préféré jouer sur le gag de Solo, l'employé impertinent.

Editions DVD

Si certaines modifications sont apportées pour restituée la cohérence avec la préloie, c'était plutot à la Prélogie de s'adapter à la Trilogie et non l'inverse.

L'apparition de Anakin à la fin du Retour du Jedi tel qu'il était dans la prélogie ne peut pas s'expliquer.

Anakin est, en se sacrifiant, redevenu le Jedi qu’il avait autrefois été. En effectuant cette rédemption, il cesse d’être un Sith et cette parenthèse de sa vie se referme. Cette image du jeune Anakin se veut avant tout symbolique. Egalement, puisque son retour est dû à son sacrifice, nous pouvons aussi considérer qu’il ne parachève sa rédemption qu’après être passé de vie à trépas. L'image de lui est en conséquence celle du jeune homme qu'il était avant de passer du côté obscur.

Lucas a insulté la mémoire du Sebastian Shaw en le remplaçant par Hayden Christensen

Et celle de David Prowse en le remplaçant par Sebastian Shaw, on sait.

L'apparition de Anakin à la fin du retour du jedi change la signification du film : ce n'est donc plus Anakin qu'on voit mourir dans les bras de Luke, mais encore Vader ?

Vader redevient Anakin au moment où il se sacrifie pour sauver son fils et tuer l’Empereur. C’est donc bien Anakin qui meurt dans les bras de Luke. Le fait que, plus tard, son apparition sa fasse sous la forme d’un jeune homme est surtout dû au fait que ces images des Jedi disparus sont des représentations symboliques. Ce ne sont pas des êtres matériels. En conséquence, afin d’illustrer la rédemption et la grandeur retrouvée d’Anakin, il est symboliquement bien plus fort de le montrer sous les traits du jeune Jedi au sommet de son art qu’il fut, plutôt que sous les traits d’un vieux monsieur inconnu.

La couleur des sabres dans certains plans est horrible (du rose pour Vader !), l'EDVD est un baclage.

Les sabres ont souffert du réétalonnage des couleurs.

Quand on sait que certains plans ont été débarassés de 100 000 (sic) impuretés et que ce travail est valable pour les 2000 plans que comptent chacun des trois films, on peut difficilement accuser Lowry Digital de "bâclage". Le travail n'est peut-être pas complet, mais en terme de qualité globale, l'EDVD est à des années-lumière de l'EO qui était généralement bien plus atroce.

Le son des acteurs dans Un Nouvel Espoir n'a pas toujours le même niveau, de temps en temps on dirait que ça a été enregistré dans un hangar. Encore une preuve que la remasterisation a été baclée.

Il s'agit d'un problème existant depuis l'édition originale, et très perceptible déjà sur les VHS d'époques. Comme pour beaucoup de films, certaines spécificité techniquement empêche la conservation du son tel quel dans toutes les prises, et il faut bien souvent redoubler une partie des dialogues en studio. C'est la différence entre les prises de son enregistré en studio et celle sur les plateaux qui est ainsi perceptible. L'ancienneté d'Un Nouvel Espoir et le peu de moyen technique de l'époque fait probablement que ce problème pourra difficile être réglé, et il est probable que l'Episode IV aura toujours une qualité sonore inférieure à celle des autres épisodes.

il y a d'affreux rectangles verts autour des TIE dans Un Nouvel Espoir.

Réglez mieux vos téléviseurs.

Le nouvel empereur de l'Empire Contre Attaque ressemble encore moins à celui du retour du Jedi ou de la Revanche des Sith que l'ancien.

Nous vous conseillons l'achat d'une nouvelle paire de lunettes. L'ancien empereur de l'Empire Contre-Attaque ne ressemble à rien, et la prestation de Clive Revill n'est en rien comparable à celle de Ian McDiarmid dans les autres films. Pour ce qui est de la Revanche des Sith, l'Empereur et son maquillages sont absolument identiques - et pour cause la nouvelle scène de l'Empire Contre-Attaque a été tourné durant le tournage de l'Episode III, entre deux scènes de la Revanche des Sith.

Lucas aurait du mettre l'EO aussi sur le DVD.

C'est bon, voilà, il va le faire, vous êtes contents ? Ah ben toujours pas apparemment...

Il est ridicule de voir le Sénat et le Temple Jedi à la fin du Retour du Jedi, ce sont des batiments que l'Empereur aurait détruit.

Le Sénat existe encore à l'époque d'Un Nouvel Espoir, vu que sa dissolution se déroule durant le film. (Le terme "Dissolution" n'est pas à prendre au sens littéral, ce qui implique que le bâtiment est toujours là). Le Temple Jedi quand à lui renferme probablement des milliers années d'histoires et de savoir qui ne pourraient que s'avérer utile pour les Sith - il serait illogique de le détruire sans raisons.

Arguments contre Lucas et son équipe

Lucas en devenant producteur est devenu le type de personne qu'il detestait le plus au début de sa carrière : Il s'est fourvoyé.

Cette critique vient en partie de ce que Lucas dit de lui-même, mais sr un autre sujet : Il n'aimait pas faire des histoires à l'universit, et il s'est retrouvé spécialiste dans la présentation d'histoires. Mais c'est un autre débat.

En ce qui concerne plus sépcifiquement le rôle de producteur, cela reviendrait à nier l'importance d'un producteur. mai surtout c'est en premier lieu confondre les différents types de producteurs existants dans l'industrie du cinéma. Lcas a toujours detesté et continue de détester les producteurs-censeurs des studios, qui sont en général plus des cadres commerciaux, mdelant le film du réalisateur en fonction des recettes estimées au box-office. Il existe n autre type de prodcteur, dont les plus grands exemples se trouvent dans le cinéma français de la Nouvelle Vague (le plus grand représentant est peut-être Georges de Beauregard, producteur de nombreux films de Godard), ceux ci en fournissant l'argent pour faire un film prenaient des risques pour permettre aux idées de l'auteur de se développer parfois en dénis de toute logique commerciale.

c'est dans cet esperit que Lucas et Coppola ont fondé American Zoetrope, et c'est comme une seconde tnttive pour se libérer des studios que Lucas a fondé par la suite Lucasfilm avec le succès que l'on sait.

Le producteur qu'est devenu Lucas est donc l'antithèse du producteur qu'il dénonçait et continue de dénoncer, un personnage rare dans le paysage cinématographiqe américain où la lgique de studio prédomine, mais courant dans le paysage européen où il n'y a pas véritablement de studios.

Témoin en est Irvin Keshner qui dans le commentaire audio du DVD de l'Empire Contre Attaque revient à de multiples reprises sur l'exeptionnalité de son expérince avec george Lucas, Lucas qui a mis beaucoup d'argent sur la table pour permettre à Keshner de prendre des risques important avec le film. Un expérince que le réalisateur dit n'avoir jamais connu avec aucun autre producteur.

cela n'empeche pas, bien-sûr, Lucas de faire des films orients surtout pour le grand public, mais il est crédité dans des films plus intelectuels également.

Lucas ne tient pas compte de l'Univers Etendu.

Lucas ne tient, en effet, pas en compte l'UE lorsqu'il fait ses films. C'est un filmiste et il considère ainsi l'UE comme un épiphénomènes, un univers parralèle de ses propres mots. Il ne peut , en outre, pas humainement trouver le temps pour se tenir au courant de tout ce qui se fait sous sa franchise. Il est ainsi très probable qu'il ne lise aucun des romans estampillé Star Wars.

L'univers étendu a été probablement crée selon 4 axes :

  • Fournir de quoi repondre à la demande d'un partie du public, qui ne veut pas de contenter de l'histoire de Star Wars présenté dans les films. (ce qui est sympathique pour les fans)
  • Permettre a des auteurs de jouer avec son univers en leur laissant une marge de manoeuvre. (ce qui est sympathique pour les auteurs débutants ou en mal de contrat)
  • Permettre une rentrée d'argent (Lucasfilms n'a rien à voir avec Hollywood, et doit donc vivre d'elle-même).
  • Permettre le developpement de series. Les séries (serials) etaient la source d'inspiration majeure de Lucas (Comics, BD euro, TV etc.) pour Star Wars (d'ou l'aspect kitschissime des films), c'est une sorte de bouclage de boucle de revenir sur la série à proprement parler.

Vouloir que Lucas intègre pleinement l'UE à ses films revient à nier les principes ayant mené à la création d'un UE, à prendre l'UE pour ce qu'il n'est pas.

Ceci n'a pas empeché Lucas d'en faire quelques courtes références dans la Prélogie (sous la forme de personnages de figuration principalement), mais n'étant pas au courant du détail de l'UE de part la large marge de manoeuvre qu'il laisse aux auteurs pour "jouer" avec son univers, il ne peut faire plus. Et il serait indécent d'en réclamer plus.

Lucas veut tout faire tout seul, il n'y a plus de contre-pouvoir à Lucasfilm. C'est pour ça qu'il a progressivement viré toutes les personnes qui s'opposaient pour ne prendre que des "yes-men" tuant ainsi toute créativité

Une thèse typique des conspirationnistes, qui n'est pourtant fondée sur rien et contredite par bien des faits. Les collaborateurs de Lucas se sont succédés au fil des années pour des raisons diverses et variés loin des supposées guéguérres puérils que s'imagient certains fan (et non-fans vu que ces mensonges sont répondu dans la presse non informée). Etudions donc certains de ces collaborateurs de Lucas :

- Gary Kurtz : S'il est vrai qu'il y avait quelques conflits entre Lucas et Gary Kurtz à l'époque de ESB, le producteur de ANH et ESB est parti sur propre chef de ROTJ. En partie parce qu'il n'aimait pas la nouvelle direction prise par Star Wars (dans on esprit de producteur il voyait Star Wars devenir une franchise telle Jambes Bond avec un film tous les deux ou trois ans sur les écrans alors que Lucas voulait conclure l'histoire avec ROTJ), et qu'après de longues années à bosser sur Star Wars il préférait travailler sur Dark Crystal, un film très différent. Son remplaçant Howard Kazanjian est tout sauf un amateur, ayant été assitant réalisateur sur de nombreux films avant Star Wars (dont notament la Horde Sauvage de Peckinpah) et travaillé avant ROTJ sur deux autres films avec George Lucas : le mésestimé More American Graffiti sorti en 1979, et surtout un petit insignifiant de Steven Spielberg appelé les Aventurier des l'Arche Perdu... En d'autres mots George Lucas n'a fait que remplaçant un collaborateur de longue date que par un autre collaborateur de Longue date.

- Lawrence Kasdan : Il fut le scénariste principal de ESB et ROTJ - collaborant dans les deux cas avec George Lucas en peaufinant les premiers jets de ce dernier pour obtenir le résultat final. D'aucant prétendent qu'à la suite de ROTJ Kasdan et Lucas se seraient embrouillés et que Lucas s'en serait ainsi débarassé pour la Prélogie. Rien ne saurait être plus faux puisque Lucas avait justement approché Lawrence Kasdan pour l'écriture de la Menace Fantôme - mais ce dernier refusa poliment l'offre, insistant et encourageant sur Lucas sur le fait qu'il devrait écrire le film lui-même et rester fidèle à sa propre vision.

- Irvin Kershner : Là encore on prétend que Irvin Kershner aurait été viré par Lucas - dégouté par son ESB loin de l'image qu'il avait de Star Wars - afin qu'il ne réalise pas ROTJ et que les deux hommes se détesteraient depuis. La encore il ne s'agit que de pures inventions de la part de fans aigris. Irvin Kershner et George Lucas se connaissent de longues date - Kershner était l'un des professeurs de Lucas à l'UAC et son mentor, raison pour laquelle il l'approcha immédiatement pour la réalisation du second Star Wars. Irvin Kershner et George Lucas sont unis par un très grand respect mutuel et Lucas ne s'est jamais tarri d'éloges sur le travail de Kershner pour l'Empire Contre-Attaque - allant même jusqu'à ne pas se présenter à la première de l'Empire Contre-Attaque afin de ne pas faire de l'ombre à Kershner. Irvin Kershner fut trés vite proposé pour la réalisation du Retour du Jedi, mais il refusa ne pensant point être en mesure de refaire un travail aussi éprouvant que l'Empire Contre-Attaque. Même si Kershner a parfois éprimé des regrets quand au Retourn du Jedi, le fait est qu'il n'a jamais été écarté de sa réalisation et que ce fut son propre choix.

- Richard Marquand : Selon certaines thèses, après les soi-disants conflits haineux entre Lucas et Kershner sur ESB, George Lucas aurait engagné Richard Marquand car ce n'était qu'un faiseur incompétent, qui pourrait lui servir de pantin et obéir à sa guise (des critiques d'autant plus 'nobles' que Marquand n'est plus en vie pour se défendre). Pourtant il est bon de rappeler que Richard Marquand ne fut pas le premier choix pour la réalisation du film. Outre Irvin Kershner mentionné plus haut, le choix premier de Lucas pour réaliser le Retour du Jedi était son ami Steven Spielberg mais cela ne put se faire car Spielberg étant membre de la DGA il ne pouvait réaliser un film pour Lucas (qui l'avait quitté suite aux troubles avec ESB) sans se causer de sévères problèmes. David Lynch se vit également offert la place de réalisateur mais il préféré décliner pour se charger de l'adaptation de Dune. Finalement le choix se porta sur Richard Marquand dont Lucas appréciait beaucoup le travail. S’il est vrai que Lucas porta un rôle plus important dans le Retour du Jedi en terme de mise en scène, ce n’est point à cause de l’incompétence de Marquand mais simplement parce que ce dernier n’avait pas l’habitude de travailler sur les films de cette ampleur et des effets spéciaux – ce qui rendait la tache d’autant plus difficile que le Retour du Jedi était bien plus avancé que les deux premiers épisodes sur ce plan là. De plus c’est également oublier que Lucas a toujours gardé le contrôle créatif sur la saga, même sur la réalisation de l’Empire Contre-Attaque.

- Ralph McQuarrie : Designer et artiste conceptuel sur la trilogie originale, McQuarrie n’est pas revenu sur la réalisation de la Prélogie, ce que certains ont encore pris pour un signe d’irrespect de la part de Lucas, et un moyen de se débarrasser d’un des talents responsable de la qualité de la Trilogie Originale. Pourtant la réalité de la situation est bien plus simple – McQuarrie n’est plus tout jeune, il est a la retraite et atteint de la maladie de Parkinson et n’est malheureusement plus en état de réaliser un travail d’une telle ampleur. Cela n’empeche pas les réalisateur de la prélogie d’avoir un grand respect et admiration pour le travail de McQuarrie, et réciproquement.

Evidemment l’autre thèse découlant de celle là est que George Lucas n’engagea que des yes-men pour la Prélogie (à commencer par le producteur Rick McCallum) ce qui fait que plus personne n’oserait plus questionner ses décisions et se conterait de lui obéir aveuglement. Là encore il ne s’agit que d’une vérité fantasmée, sans rapport avec les faits. Déjà il est bon de rappeler qu’une grande partie des collaborateurs de Lucas sur la Prélogie sont des collaborateurs de longue de date qui ont commencé à travaillé avec lui sur l’excellente série télévision « The Young Indiana Jones Chronicles » au début des années ’90 – comme à son habitude Lucas est fidèle a ses collaborateurs et on retrouve souvent les mêmes nom d’une œuvre à l’autre. De plus la méthode de travail de Lucas est d’offrir une grande liberté aux artistes dans des limites pré-définies afin de les laisser exprimer leur créativité à leur guise pour obtenir le meilleur résultat possible (par exemple pour le Général Grievous Lucas se contenta de demander la création d’un ‘Jedi Droide’ laissant libre court aux artistes d’essayer différentes approches). Dans le même ordre idée, il est faux de dire que Lucas n’écoute aucune suggestion et les exemples sont légions dans la Prélogie. Pour en citer quelques uns

- Plusieurs animateurs d’ILM ont tenté de convaincre Lucas (sans succès) de réduire les gags de Jar Jar dans TPM. Cela montre bien que certains collaborateurs de Lucas n’approuvent pas nécessairement ses décisions et le font savoir.

- Jonathan Hales : avant même la sortie de TPM, Lucas considérait à engager un second scénariste sur AOTC afin d’en écrire la romance, élément qu’il ne se sentait pas à l’aise à écrire lui-même. Le choix se porta sur Jonathan Hales qui fut en son temps scénariste sur « Young Indiana Jones Chronicles ».

- Il n’était à l’origine nullement question de réaliser un Yoda en image en synthèse sur l’Attaque des Clones, et Lucas pensait à utiliser la marionnette de Frank Oz. C’est un prototype de Yoda en CGI - recréant certaines scènes de l’Empire Contre Attaque – créé par les équipes de Rob Coleman sur leur temps libre qui convaint Lucas de créer Yoda en CGI pour l’Attaque des Clones.

- Lors Anakin confesse le massacre des Tusken à Padmé sans AOTC, Lucas voulait à l’origine que Hayden joue d’un air froid et détaché, alors que l’acteur préférait une approche plus coléreuse et excitée… le mélange entre les deux approches fut ainsi un Anakin distant et froidi avec une colère froide grandissant peu à peu, créant ainsi l’une des meilleures scène de toute la saga.

- Pour le duel final entre Yoda et Dooku dans l’Attaque des Clones, le scénario original prévoyait en fait que les deux personnages s’affrontent immédiatement au sabre laser. Mais suite à la suggestions de certains membre d’ILM il fut décider de créer de « duel de sorcier » entre les deux personnages pour accroître la tension avant le début du duel.

Ce ne sont bien sûr que quelques exemples et evidement George Lucas reste le décisionnaire final pour toute chose relative aux films – mais il est loin d’être un tyran fermé à toute suggestion ou reproche.

Le rôle des femmes montre que Lucas est mysogine.

Dans Star Wars les femmes ont un rôle politique de premier ordre, que çe soit dans l'ancienne ou la nouvelle trilogie. Padmé était reine de Naboo à seulement 14 ans puis sénatrice. C'est une femme forte, intelligente et courageuse. Léia semble avoir hérité des mêmes traits de caractère que sa mère en devenant une des leader de la rebellion. Mon Mothma est également au commande de la rebellion; on peut également se souvenir que des Jedi et des chasseurs de primes sont des femmes...

Le rôle des minorités (gungans, lando etc.) montre que lucas est xénophobe.

Dans ce cas pourquoi ces soit-disant minorités font-elles partie du camp des " gentils "? Les soldats de l'Empire ou Stormtrooper revêtent tous une armure blanche, symbole de la pensée unique et du refus de la diversité. Les résistants de l'Alliance sont au contraire d'origines diverses, preuve d'une plus grande tolérance. Star Wars fait cohabiter humains et aliens en tout genre, il n'y a que des minorités. Et puis Lando est-il réellement un traître quand on prend la peine d' y réfléchir ? Et si Lucas était xénophobe, pourquoi aurait-il prit Samuel L. Jackson pour incarner un des Jedi les plus important de la prélogie ?

Certaines références cinematographiques montrent que Lucas est un nazi.

Lucas s'est vendu au cinéma hollywoodien.

L'inverse est démontrable. Lucas s'est en fait rendu encore plus indépendant quand à Hollywood pour faire la prélogie, et ce grâce aux bénéfices de la trilogie et des centaines de licences Star Wars. Premièrement, Lucas est indépendant géographiquement d'Hollywood. Installé au Skywalker ranch, il peut réaliser les phases de pré-production et de post-production de façon quasi-autarcique. Le recours à ILM n'est pas un vrai signe de dépendance puisque Lucas est le père de la célèbre entreprise. Ensuite Lucas a joui d'une grande liberté pour réaliser ses films, liberté permise par une relative facilité pour boucler le budget du film ( qui n'a jamais explosé pour rester aux alentours de 115 Millions de dollars ) et lui donnant toute autorité sur ses films : pas de contraintes des studios quand aux choix d'acteurs, au scénario, aux dépassements de délais. En fait Lucas n'a gardé contact avec Hollywood que pour la distribution du film aux USA et dans le monde, et c'est avec la Fox, comme pour la trilogie, que Lucasfilm s'est associé. De plus Lucas est clairement en conflit avec Hollywood : il est souvent critiqué, mais lui-même dénonce le coté pervers de l'industrie américaine qui "broie" les auteurs. Et c'est probablement son indépendance quand au systême qui agaçe le microcosme Hollywoodien qui fustige fréquemment les "marginaux".

Lucas n'a fait la prélogie que pour gagner de l'argent, pas pour faire des bons films.

Si c'était le cas, Lucas ne se serait certainement pas cassé les burnes à écrire, réaliser et superviser ces films, qui lui ont pris une bonne dizaine d'années. Il aurait confié l'écriture, la réalisation et la production aux premiers tâcherons hollywoodiens venus, qui lui auraient rapporté largement davantage de cash.

Lucas n'a rien inventé ou très peu de choses, on doit le gros de la trilogie à Gary Kurtz.

Lucas n'a rien inventé ou très peu de choses, on doit le gros de la trilogie à Lawrence Kasdan.

Lucas n'a rien inventé ou très peu de choses, on doit le gros de la trilogie à Leigh Brackett.

Leigh Brackett (romancière et scénariste réputée, ayant notamée écrit le script de Rio Bravo), avait été engagé par George Lucas en personne pour écrire le script de l'Empire Contre-Attaqué, basé sur un synopsis long et détaillé de ce dernier. Cette dernière écrit un premier jet et le remet à George Lucas - mais malheureusement elle décède d'un cancer peu après sans avoir la chance d'avoir pu retravailler son scénario ou en discuter avec Lucas. Hélas, Lucas n'est pas satisfait de ce script et se voit obligé de le rejetter pour en reprendre l'écriture à zéro, écrivant le deux jets suivant lui-même avant d'engager Lawrence Kasdan pour reprendre la suite. Selon Kasdan le script de Brackett "n'avait de Star Wars que le nom. On y retrouvait des noms familiers, mais la caractérisation et l'ambiance n'était rien à voir avec l'esprit de la Guerre des Etoiles". Cela n'est nullement dans le but de descréditer le travail de Brackett, car tant Lucas que Kasdan estime qu'elle aurait été en mesure de réécrire le script - mais malheureusement son décès prématuré fera de cela une impossibilité. Néanmoins vu que Lucas avait un grand respect pour Leigh Brackett il décidé malgré tout de la crédité au générique de l'Empire Contre-Attaque, bien qu'il ne reste rien de son travail dans le film final (là où un quelconque producteur Hollywoodien aurait enlève le nom de Brackett sans y regarder à deux fois)

L'Empire Contre Attaque est le meilleur Star-Wars parce que c'est Irvin Keshner qui y a tout fait à la place de Lucas.

Irvin Kershner a tenu la caméra à la place de Lucas. L'histoire, le scénario, le montage, la musique, la photographie... ne sont pas de lui.

Lucas ne sait pas réaliser, sinon pourquoi aurait-il laissé sa place pour les deux derniers épisodes de la trilogie ?

En voyant THX 1138 et American Graffiti, il est bien difficile de croire que Lucas ne sait pas mettre en scène. Les mises en scène d'American Graffiti et d'Un nouvel espoir ont été nominées aux Oscars. Lucas a abandonné la mise en scène car la production catastrophique d'Un Nouvel espoir l'a dégoûté de la réalisation à grande échelle. Il a pourtant continué à diriger des secondes équipes de tournage pendant vingt ans, parfois même des séquences entières (la mort de l'Empereur, les scènes du Viet-Nâm dans More American Graffiti).

ILM n'est plus que l'ombre de lui-même, maintenant c'est WETA qui mène la danse.

C'est surtout WETA qui est venue prendre des leçons d'animation auprès de Rob Coleman pour le personnage de Gollum. Qui, en passant, n'a pas de vêtements, parce que c'est un cauchemar à modéliser, et bénéficie de la motion capture: à comparer avec le personnage de Yoda, réalisé à partir d'une marionnette.

Quant à King Kong, certes il est spectaculaire avec sa belle fourrure, mais depuis Monstres & Cie, qu'y a-t-il d'extraordinaire à une fourrure CGI ? De l'autre côté, le général Grievous, qui a le bon goût de ne pas en mettre plein la vue, représente pourtant 160 points d'articulation à réaliser en même temps. Un arrache-cheveux de première, doublé de textures osseuses et métalliques exceptionnelles.

Enfin, il suffit de voir la bataille spatiale de la Revanche des Sith ou le combat sur Mustafar pour deviner que ILM regarde de très haut ceux qui ne dénigrent et qu'elle n'a franchement aucune leçon à recevoir de personne.

Tous les films réalisés par Lucas montrent qu'il ne sait absoluement pas diriger ses acteurs.

George Lucas est à la charge de W.Bush. Il veut abrutir toute la terre avec ses films pour permettre aux USA d'assurer leur domination.

Cinq Star Wars sur six ont été produits alors que Bush n'était pas Président des Etats-Unis. Le dernier vise plus ou moins explicitement le Président Bush: "If you're not with me, then you're my enemy. -Only a Sith deals an absolute." en référence aux propos du président américain au moment de lancer sa campagne en Irak.

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