Compte-rendu de la première réunion du groupe de travail "Web et territoires numériques"

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[edit] Réunion du 29/03/11 – Web et territoires numériques

Présents :

  • Gérard Borj – Association des amis du Muséum
  • Caroline Bouvard – Mairie de Pont de Claix
  • Gaëlle Pouessel – La Métro
  • Céline Tupin – Ville de Grenoble
  • Jeany Jean-Baptiste – CCSTI
  • Emilie Vigliotta – Aconit
  • Florence Esposito – CCSTI
  • Xavier Normand – Ville de Grenoble
  • Muriel Aldebert – Mairie d’Eybens
  • Sylvie Bretagnon – Musée des Sciences Médicales, CHU Grenoble
  • Philippe Denoyelle – Aconit
  • Laurent Chicoineau – CCSTI
  • Kissia Ravanel – CCSTI

Excusés :

  • Alexandre Foray – CCSTI


En premier lieu, Laurent Chicoineau présente le projet PLACES, un projet européen qui démarre et qui va, dans un premier temps, donner lieu a une identification des acteurs de la culture scientifique sur 69 villes en Europe. Le CCSTI Grenoble prend part au projet en prenant en charge ce travail d’identification sur son territoire. Il a semblé important de présenter ce projet aux participants de ce groupe de travail car cette volonté d’identification des acteurs est aussi une des finalités de la plateforme.

Sylvie Bretagnon, du musée des Sciences Médicales, prend la parole car elle souhaite exprimer des besoins relatifs à la future plateforme. En regard de son expérience personnelle (petite structure, pas de personnel et peu de moyens), elle fait remarquer que le besoin primordial est d’avoir un espace où elle puisse diffuser de l’information facilement, afin de faire connaître sa structure et ses actions. Elle fait également ressortir la question des publics empêchés (personnes hospitalisées ou incarcérées), qu’il faudrait aussi réussir à atteindre. Le département de l’Isère est riche d’un patrimoine scientifique et d’actions de CSTI qu’il faut réussir à valoriser et à faire connaître grâce à la plateforme, non seulement au grand public mais aussi aux institutions.

Emilie Vigliotta, de l’Aconit, pense également que les gens ont ce besoin d’information. Elle donne l’exemple du Petit Bulletin, sur lequel les gens peuvent facilement et rapidement trouver une activité culturelle, une exposition, un atelier… La plateforme devrait donc être à même de satisfaire ce type de besoin.

Laurent Chicoineau reprend la parole et exprime son point de vue sur la plateforme, qu’il envisage comme un réseau d’individus et non comme un réseau de structures, bien que chaque personne soit évidemment rattachée à une structure. Cependant, la logique d’individus doit passer en premier. Au vue des besoins exprimés et des réflexions préalables, il en ressort que la plateforme serait un écosystème composé de diverses « briques ». Ces briques formeront un ensemble cohérent mais pourront aussi être considérées de manière individuelle. Cela implique également que si une brique ne justifie plus son usage ou qu’elle ne répond pas à un besoin de manière satisfaisante, elle pourra être supprimée sans que cela ne nuise à l’équilibre et au bon fonctionnement de la plateforme.

A cet instant de la phase de réflexion et de conception, les briques envisagées sont les suivantes :

  1. Un module agenda partagé, où chacun pourra contribuer en ajoutant un évènement
  2. Une base de données collaborative de ressources diverses (fiches structures, expos, documents divers…)
  3. Un module « réseau social » où chacun pourra créer son profil et échanger avec les autres membres
  4. Un module éditorial, qui permettrait de produire des contenus de type journalistique pour documenter les acteurs et les dispositifs à l’œuvre sur le territoire (exemple d’une présentation du dispositif AZUR mis en place par l’UJF et l’éducation nationale)
  5. Un module de veille stratégique qui regrouperait les appels à projets en cours, les opportunités financières, et qui permettrait à chacun d’avoir une vision globale, sans avoir besoin de chercher l’info sur différents sites
  6. Un module de « crowdsourcing » permettant de mobiliser et mutualiser des participations sur les projets en cours (trouver des partenaires, des coproducteurs, des ressources techniques, etc.).

Le contenu et l’articulation de ces différentes briques doivent encore être affinés et précisés, notamment au niveau des fonctionnalités et des droits d’accès (par exemple, le grand public n’aura pas accès à tous les modules). Un comité éditorial pourrait être mis en place pour mettre en avant une structure ou une action de manière régulière (hebdo, mensuelle) et enrichir la base de ressources. Le cahier des charges devra spécifier la nécessité de compatibilité entre les bases de données.

A l’heure actuelle les outils disponibles sont :

  • Le site web Pistil développé par l’ACONIT : agenda, activités temporaires et activités permanentes des membres du réseau + Newsletter
  • La base de données CCSTI-PRES : Base PMB annuaire des structures en fonction de thématiques identifiées (commune avec Universcience) et fiches ressources

Prochaine réunion du groupe de travail mardi 12 avril à 15H30 à la Casemate

Prochaine réunion plénière lundi 18 avril à 18h à la Métro (restitution des 3 groupes de travail)

Définition du cahier des charges de la plateforme web : fin juin


[edit] Commentaires - Remarques

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