Main Page

From Pod5

Revision as of 21:03, 14 November 2006 by Admin (Talk | contribs)

Accueil.jpg

Contents

Mise en contexte

Le mot «Indie» est un diminutif d’indépendant. Il est utilisé informellement pour décrire tout ce qui est indépendant dans des médias comme la musique, les films, les magazines, la mode, etc… On peut parler d’un groupe rock, d’un designer ou d’un film indie. L’expression symbolise tout ce qui est original, à l’avant-garde, tout ce qui n’est pas «mainstream» ou associé à une diffusion de masse.

On remarque actuellement un manque d’émissions d’information et de divertissement s’adressant à un public jeune adulte qui s’intéresse à cette sous-culture indépendante. Ils sortent dans les bars branchés de la ville, font leurs courses sur St-laurent, étudient ou travaillent sur leur Mac dans un café le dimanche, et arborent des vêtements au look vintage ou des jeans tout droit sortis de Londres ou Paris, voici le portrait type du public de l’émission.

Les 18-30 qui ont comme passion cette culture indépendante, sa musique, son cinéma ainsi que les voyages et les sorties entre amis sont à la recherche d’une émission qui pourrait développer encore plus leurs intérêts. Indie Mag sera l’émission où ils pourront s’informer sur les prochains spectacles de la scène émergente, sur le nouveau cinéma et les sorties de films indépendants, sur la mode underground et où l’on présente des évènements et «partys» incontournables de la scène montréalaise et internationale. Indie Mag s’adresse également à ceux et celles qui ne sont pas familliers avec la culture et la scène émergente, mais qui veulent en savoir plus sur ce qui n’est habituellement pas couvert par le monde de la télévision.


Concept

L’émission est inspirée de certains magazines papiers traitant du mode de vie urbain. La diffusion de l’émission se faisant une fois par semaine, le sujet en est différent à chaque fois. Sous le nom de «Thematik», le sujet de l’émission est abordé par l’animateur, les reporters correspondants et les chroniqueurs. Dans un format d’une heure, l’émission est divisée en deux. Tout d’abord, elle est composée des reportages sur la «thematik» de la semaine de chacun des 5 correspondants urbains qui chacun se trouvent dans une grande ville du monde soit : Londres, Paris, New York, Montréal et Berlin. Les villes des correspondants ont été choisies pour leur frénésie, leur effervescence, pour leur avant-gardisme et qu’elles sont connues pour avoir une vie culturelle et urbaine très enrichissante et parce que plusieurs tendances émergent de leur ventre. Dans la deuxième partie, on retrouve des chroniques sur des sujets variés des collaborateurs locaux, des entrevues faites par l’animateur et du «party/video/diary».

S’adressant à des jeunes adultes hommes et femmes qui s’intéressent à la culture indépendante, le magazine permet à cette génération de s’informer sur des sujets et d’en savoir plus sur la perception du sujet de la semaine chez leurs confrères de l’extérieur du Canada. Ce sont justement ces perceptions qui vont faire, en quelque sorte, l’âme de l’émission. Il est toujours intéressant de voir comment les autres cultures perçoivent leur quotidien et les choses qui les entourent. L’émission veut donner une ouverture sur le monde aux spectateurs tout en le divertissant. On peut voir Indie Mag comme un mélange de l’émission «La course destination monde» et l’émission «Mange ta ville» à Artv.

Si l’émission fonctionne bien à Montréal, nous prévoyons une expansion potentielle à l’internationale. Nous allons élaborer une collaboration avec 4 autres diffuseurs situés dans les différentes villes correspondantes. Le concept de l’émission serait le même, partout dans le monde. Les Français pourront écouter Indie Mag autant que les Américains. Chaque magazine serait local, il n’y aurait que l’animation et les collaborateurs qui changeraient et évidemment, la façon de traiter le sujet. C’est la maison-mère du magazine, à Montréal ou New York par exemple, qui choisi le sujet, l’impose pour l’émission et pour les reportages. Chaque émission locale choisie alors les 4 reportages internationaux (par ordre de préférence) des autres pays qu’elle préfère pour les diffuser. Cela ajoute une petite compétition et permet de s’ajuster aux goûts du public local.

Les téléspectateurs voudront suivre chaque semaine Indie Mag parce que la formule de l’émission leur fera découvrir un monde auquel ils ne s’attendaient pas. Ils vont découvrir plus que des sujets, ils vont découvrir des manières de penser, des styles, des villes, des cultures, des enjeux, des entités… Avec des sujets abordés totalement différemment par leurs analystes (reporters), un dynamisme rythmique et des images captivantes et bien plus encore, l’auditoire en sera bien vite accro. Indie Mag, c’est une caméra qui se faufile pour vous montrer la vraie version des choses, comme si vous y étiez !


Contenu

Tout d’abord, ce qui différencie chaque émission c’est la «thematik» de celle-ci. Les sujets peuvent êtres simples et généraux. On peut penser aux sujets : la bouffe, la mode, l’odeur, le design, la publicité, le code vestimentaire, les «à ne pas faire»… Par contre, ils peuvent être traités de la façon que le reporter à bien voulu. C’est en donnant une «thematik» large que l’on va pouvoir assister à une présentation des plus éclectique des sujets

En fait, ce n’est pas exactement des reportages auxquels on assiste, mais à tout simplement des vidéos d’information traités comme le reporter à bien voulu communiquer le sujet. (Dans le style «La course destination monde») C’est comme si l’on faisait un reportage sur la poutine, dans le cadre de la «thematik» bouffe et que l’on présentait cela aux Anglais et aux Français. Le reportage pourrait faire part de la popularité du mets à trois heures du matin à la fermeture des bars, des restaurants spécialisés et leurs panoplies de sortes de poutine, de ses ingrédients, de la guerre entre Victoriaville et Drummondville sur l’invention de celle-ci, etc. Il est évident que c’est fascinant de voir et d’essayer de comprendre lorsque le sujet du reportage nous montre un truc inconnu à notre culture. Même que l’on est autant plus intéressé lorsque l’on fait la démonstration de nos éléments qui nous définissent en tant que nation. Destinée à un public averti, il n’y a aucune censure à l’émission, les reportages peuvent êtres traités avec humour, surprise, curiosité, ou abordé de façon dramatique, alarmante, déjantée ou sérieuse. Les reporters auront été choisis judicieusement pour donner un ton propre à leur document par leur personnalité distincte.

Les reporters ont le feu vert sur leur contenu, ils doivent interpeller le spectateur, l’informer et essayer lui apporter du matériel original ! Quant aux chroniques, on parle de tout ce qui est indépendant et underground, de la musique, à la mode, en passant par les activités nocturnes ! Chaque semaine, on nous présente un chroniqueur spécialisé. Il présente sa chronique avec des images à l’appui. Par exemple, le chroniqueur peut parler du phénomène American Apparel et de son implantation au Québec, une marque très populaire auprès du public cible. Il peut aborder les publicités, du fondateur de la compagnie jusqu’au design des vêtements. Le chroniqueur musique, lui, va plutôt nous présenter quelques nouvelles du monde musical indépendant et parler des sorties d’album de groupes comme CSS (électro), Death Cab For Cutie (indie pop), Belle and Sebastian (indie) ou du festival Pop Montréal, par exemple.

De plus, pour aider la relève, à chaque émission, on présente un vidéoclip d’un artiste émergent de la scène musicale indépendante. Le «party/video/diary» quant à lui, se veut une rétrospective visuelle (photos et vidéos) sur les évènements incontournables qui se sont déroulés lors de la semaine précédente à Montréal. On pense, entre autre, à des images d’un festival comme Osheaga ou à la première du tout nouveau film d’un réalisateur bien en vue de la relève. Un site Internet sera créé où les téléspectateurs et Internautes pourront consulter le contenu de l’émission et même clavarder avec les reporters. On pourrait également créer des capsules inédites que l’on retrouve uniquement sur le net et les internautes pourraient même présenter leurs propres reportages.


Animation et Ambiance

L’animation se fera par un homme ou une femme dans la mie vingtaine qui s’y connaît au niveau du monde underground et indépendant. Cette personne est cultivée, à l’affût des nouveautés, ouverte sur le monde, sympathique et énergique et qui adore partager ses connaissances avec les autres. Les membres de l’équipe ont souvent une explication ou une anecdote intéressante sur le sujet parlé et n’hésitent pas ajouter des explications pour que le public soit bien au courant.

Étant dans une ambiance relaxe, sans censure et de discussion sans retenue, les protagonistes tant reporters, animateur ou collaborateurs travaillent ensemble et peuvent ajouter leur point de vue ou l’information qu’ils désirent. L’animateur s’adresse directement à la caméra. C’est une émission bonbon. On veut faire sentir que c’est une rencontre entre amis qui discutent (et on y fait parti !) ensemble de sujets et qui nous font part de leur observations. C’est un tantinet intello, dans le sens artistique, mais pas du tout snob et ennuyant. C’est plus une ambiance amusante, de découverte et d’ouverture. À Indie Mag, on est toujours prêt pour assister à un spectacle, de danser sur la musique des meilleurs djs électro, de se rincer l’œil à des expositions de photos, mais surtout de faire la fête entre amis.


Décors

Le magazine se tourne en locations extérieures. L’animateur se promène en ville dans des endroits branchés de Montréal, des lofts, des lieux désaffectés comme des entrepôts, des ruelles… On explore des endroits vastes de la ville, on voit des graffitis, des gens, des autos, le tout est très urbain par les images et les attitudes véhiculées par les images.

L’animateur se promène également à l’intérieur de ces lieux pour nous montrer le design et les multiples facettes du lieu. Il peut changer plusieurs fois d’endroits dans le lieu, il peut être dans un resto à une table, ensuite se trouver au bar, ou accoté près d’une colonne ou dans le milieu de nulle part pourquoi pas ? La caméra est généralement à l’épaule pour ajouter au dynamisme du magazine.


Look

L’ouverture infographique donnera le ton et l’ambiance de l’émission. À en couper le souffle et remarquable, elle représente un gros travail de graphisme. Point de vue image, on retrouve des photos et vidéos qui se mélangent de partout dans le monde, des images représentant le passé et le présent de la génération des spectateurs. C’est en fait, un reflet de l’esprit urbain, jeune et dynamique de l’émission. Tout en faisant un clin d’œil aux années 80, les couleurs sont accrochante et «flashent», on retrouve beaucoup de symboles, des animations (à la Nintendo), des polices d’écriture différentes qui projettent des mots qui défilent, apparaissent et disparaissent. Tout est hétéroclite, mais forme l’ambiance, le tout ! Le tout est très «Artsy» ! Le «packaging» vient chercher les mêmes éléments qui sont compris dans l’ouverture.

L’émission pourrait être diffusé pour son côté international à TV5 ou à Artv côté pour son côté culturel et mode de vie. Et surtout en fin de soirée parce que le magazine est en marge de la culture populaire. Nous nous sommes inspirés en partie des magazines Vice et Nightlife pour le contenu, et du magazine Adbusters pour le design et look du projet. Voici en annexe un exemple de style pour l’ouverture.


Feuille de route

[1]


Vidéo

Voici le type de reportage que l'on retrouverait dans l'émission. [2]


other optional things to do

Personal tools
Liens rapides