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- | Tout d’abord, ce qui différencie chaque émission c’est la «thematik» de celle-ci. Les sujets peuvent êtres simples et généraux. On peut penser aux sujets : la bouffe, la mode, l’odeur, le design, la publicité, le code vestimentaire, les «à ne pas faire»… Par contre, ils peuvent être traités de la façon que le reporter à bien voulu. C’est en donnant une «thematik» large que l’on va pouvoir assister à une présentation des plus éclectique des sujets | + | <font color="black" Face="verdana">Tout d’abord, ce qui différencie chaque émission c’est la «thematik» de celle-ci. Les sujets peuvent êtres simples et généraux. On peut penser aux sujets : la bouffe, la mode, l’odeur, le design, la publicité, le code vestimentaire, les «à ne pas faire»… Par contre, ils peuvent être traités de la façon que le reporter à bien voulu. C’est en donnant une «thematik» large que l’on va pouvoir assister à une présentation des plus éclectique des sujets |
En fait, ce n’est pas exactement des reportages auxquels on assiste, mais à tout simplement des vidéos d’information traités comme le reporter à bien voulu communiquer le sujet. (Dans le style «La course destination monde») C’est comme si l’on faisait un reportage sur la poutine, dans le cadre de la «thematik» bouffe et que l’on présentait cela aux Anglais et aux Français. Le reportage pourrait faire part de la popularité du mets à trois heures du matin à la fermeture des bars, des restaurants spécialisés et leurs panoplies de sortes de poutine, de ses ingrédients, de la guerre entre Victoriaville et Drummondville sur l’invention de celle-ci, etc. Il est évident que c’est fascinant de voir et d’essayer de comprendre lorsque le sujet du reportage nous montre un truc inconnu à notre culture. Même que l’on est autant plus intéressé lorsque l’on fait la démonstration de nos éléments qui nous définissent en tant que nation. Destinée à un public averti, il n’y a aucune censure à l’émission, les reportages peuvent êtres traités avec humour, surprise, curiosité, ou abordé de façon dramatique, alarmante, déjantée ou sérieuse. Les reporters auront été choisis judicieusement pour donner un ton propre à leur document par leur personnalité distincte. | En fait, ce n’est pas exactement des reportages auxquels on assiste, mais à tout simplement des vidéos d’information traités comme le reporter à bien voulu communiquer le sujet. (Dans le style «La course destination monde») C’est comme si l’on faisait un reportage sur la poutine, dans le cadre de la «thematik» bouffe et que l’on présentait cela aux Anglais et aux Français. Le reportage pourrait faire part de la popularité du mets à trois heures du matin à la fermeture des bars, des restaurants spécialisés et leurs panoplies de sortes de poutine, de ses ingrédients, de la guerre entre Victoriaville et Drummondville sur l’invention de celle-ci, etc. Il est évident que c’est fascinant de voir et d’essayer de comprendre lorsque le sujet du reportage nous montre un truc inconnu à notre culture. Même que l’on est autant plus intéressé lorsque l’on fait la démonstration de nos éléments qui nous définissent en tant que nation. Destinée à un public averti, il n’y a aucune censure à l’émission, les reportages peuvent êtres traités avec humour, surprise, curiosité, ou abordé de façon dramatique, alarmante, déjantée ou sérieuse. Les reporters auront été choisis judicieusement pour donner un ton propre à leur document par leur personnalité distincte. |
Current revision as of 21:01, 28 November 2006
[edit] Indie Mag. Contenu
Tout d’abord, ce qui différencie chaque émission c’est la «thematik» de celle-ci. Les sujets peuvent êtres simples et généraux. On peut penser aux sujets : la bouffe, la mode, l’odeur, le design, la publicité, le code vestimentaire, les «à ne pas faire»… Par contre, ils peuvent être traités de la façon que le reporter à bien voulu. C’est en donnant une «thematik» large que l’on va pouvoir assister à une présentation des plus éclectique des sujets
En fait, ce n’est pas exactement des reportages auxquels on assiste, mais à tout simplement des vidéos d’information traités comme le reporter à bien voulu communiquer le sujet. (Dans le style «La course destination monde») C’est comme si l’on faisait un reportage sur la poutine, dans le cadre de la «thematik» bouffe et que l’on présentait cela aux Anglais et aux Français. Le reportage pourrait faire part de la popularité du mets à trois heures du matin à la fermeture des bars, des restaurants spécialisés et leurs panoplies de sortes de poutine, de ses ingrédients, de la guerre entre Victoriaville et Drummondville sur l’invention de celle-ci, etc. Il est évident que c’est fascinant de voir et d’essayer de comprendre lorsque le sujet du reportage nous montre un truc inconnu à notre culture. Même que l’on est autant plus intéressé lorsque l’on fait la démonstration de nos éléments qui nous définissent en tant que nation. Destinée à un public averti, il n’y a aucune censure à l’émission, les reportages peuvent êtres traités avec humour, surprise, curiosité, ou abordé de façon dramatique, alarmante, déjantée ou sérieuse. Les reporters auront été choisis judicieusement pour donner un ton propre à leur document par leur personnalité distincte.
Les reporters ont le feu vert sur leur contenu, ils doivent interpeller le spectateur, l’informer et essayer lui apporter du matériel original ! Quant aux chroniques, on parle de tout ce qui est indépendant et underground, de la musique, à la mode, en passant par les activités nocturnes ! Chaque semaine, on nous présente un chroniqueur spécialisé. Il présente sa chronique avec des images à l’appui. Par exemple, le chroniqueur peut parler du phénomène American Apparel et de son implantation au Québec, une marque très populaire auprès du public cible. Il peut aborder les publicités, du fondateur de la compagnie jusqu’au design des vêtements. Le chroniqueur musique, lui, va plutôt nous présenter quelques nouvelles du monde musical indépendant et parler des sorties d’album de groupes comme CSS (électro), Death Cab For Cutie(indie pop), Belle and Sebastian (indie) ou du festival Pop Montréal, par exemple.
De plus, pour aider la relève, à chaque émission, on présente un vidéoclip d’un artiste émergent de la scène musicale indépendante. Le «party/video/diary» quant à lui, se veut une rétrospective visuelle (photos et vidéos) sur les évènements incontournables qui se sont déroulés lors de la semaine précédente à Montréal. On pense, entre autre, à des images d’un festival comme Osheaga ou à la première du tout nouveau film d’un réalisateur bien en vue de la relève. Un site Internet sera créé où les téléspectateurs et Internautes pourront consulter le contenu de l’émission et même clavarder avec les reporters. On pourrait également créer des capsules inédites que l’on retrouve uniquement sur le net et les internautes pourraient même présenter leurs propres reportages.