Julie-Anne et Marie Yong ont un wiki!!!!
From Ego
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Ce court métrage a été tourné dans la cadre du cours d'audiovidéographie de Nancy Gendron à la session hiver 2006 de l'Université du Québec à Montréal. | Ce court métrage a été tourné dans la cadre du cours d'audiovidéographie de Nancy Gendron à la session hiver 2006 de l'Université du Québec à Montréal. | ||
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Dans un appartement du Plateau, une femme, Marie, est assise seule à une table. Elle lit tout en sirotant un thé. Un bruit de pas vient troubler la concentration de Marie. Elle en cherche la source mais, convaincue que ce n’est que le fruit de son imagination, elle laisse rapidement tombé et reprend sa lecture. Le bruit se refait entendre. Il semble être plus près. Marie se retourne, il n’y a rien. Elle se retourne et tend le bras vers sa tasse. Un homme cagoulé venant par-derrière se jette sur elle et lui passe un câble autour du cou. Après l’avoir maîtrisée, il l’attache et commence à fouiller sa chambre. Il trouve un coffre à bijoux, mais reste sur son appétit. Il crie. Elle reprend ses esprits. Il retourne à la salle à dîner et se dirige tout droit vers le système de son et la pile de DC. Il ne semble pas être intéressé par le vieil appareil de Marie et entre dans une colère noire. Il devient violent et Marie est de plus en plus effrayée. Le cambrioleur se dirige vers elle et lui demande où se trouve son argent. Elle lui indique d’un signe de la tête son sac qui est dans un coin. Là encore, le butin n’est pas à la hauteur du voleur. Il se lance vers elle en lui criant qu’il n’était pas venu ici pour rien et qu’il ne partirait pas les mains vides, qu’il allait prendre quelque chose. Le voleur commence à faire aller ses mains sur le corps de Marie. Son visage, sa respiration et des larmes trahissent sa peur. Quand il aperçoit ses larmes, il exhibe un sourire à faire froid dans le dos et la frappe. Il la détache et la projette sur son lit. Il se laisse aller à ses plus bas instincts. Il la domine, elle souffre. Après un moment, on découvre le voleur et Marie entrelacés dans le lit. Et Marie de rétorquer: "J'pense que j'aime mieux quand tu te déguise en super héros..." | Dans un appartement du Plateau, une femme, Marie, est assise seule à une table. Elle lit tout en sirotant un thé. Un bruit de pas vient troubler la concentration de Marie. Elle en cherche la source mais, convaincue que ce n’est que le fruit de son imagination, elle laisse rapidement tombé et reprend sa lecture. Le bruit se refait entendre. Il semble être plus près. Marie se retourne, il n’y a rien. Elle se retourne et tend le bras vers sa tasse. Un homme cagoulé venant par-derrière se jette sur elle et lui passe un câble autour du cou. Après l’avoir maîtrisée, il l’attache et commence à fouiller sa chambre. Il trouve un coffre à bijoux, mais reste sur son appétit. Il crie. Elle reprend ses esprits. Il retourne à la salle à dîner et se dirige tout droit vers le système de son et la pile de DC. Il ne semble pas être intéressé par le vieil appareil de Marie et entre dans une colère noire. Il devient violent et Marie est de plus en plus effrayée. Le cambrioleur se dirige vers elle et lui demande où se trouve son argent. Elle lui indique d’un signe de la tête son sac qui est dans un coin. Là encore, le butin n’est pas à la hauteur du voleur. Il se lance vers elle en lui criant qu’il n’était pas venu ici pour rien et qu’il ne partirait pas les mains vides, qu’il allait prendre quelque chose. Le voleur commence à faire aller ses mains sur le corps de Marie. Son visage, sa respiration et des larmes trahissent sa peur. Quand il aperçoit ses larmes, il exhibe un sourire à faire froid dans le dos et la frappe. Il la détache et la projette sur son lit. Il se laisse aller à ses plus bas instincts. Il la domine, elle souffre. Après un moment, on découvre le voleur et Marie entrelacés dans le lit. Et Marie de rétorquer: "J'pense que j'aime mieux quand tu te déguise en super héros..." | ||
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Mise en contexte de l’atmosphère désirée : | Mise en contexte de l’atmosphère désirée : | ||
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Voici quelques photos et montages que nous apprécions particulièrement et dont nous sommes l'auteur. | Voici quelques photos et montages que nous apprécions particulièrement et dont nous sommes l'auteur. |
Revision as of 01:46, 5 November 2006
Ce site se veut être une porte d'entrée vers notre travail académique et personnel des dernières années. Nous avons humblement décidé de diffuser notre travail afin de maximiser son rayonnement.
Contents |
Qui sommes-nous?
Julie-Anne Poulin
Marie Yong Godbout-Turgeon
Notre travail
Le super héros:
Ce court métrage a été tourné dans la cadre du cours d'audiovidéographie de Nancy Gendron à la session hiver 2006 de l'Université du Québec à Montréal.
Synopsis:
Dans un appartement du Plateau, une femme, Marie, est assise seule à une table. Elle lit tout en sirotant un thé. Un bruit de pas vient troubler la concentration de Marie. Elle en cherche la source mais, convaincue que ce n’est que le fruit de son imagination, elle laisse rapidement tombé et reprend sa lecture. Le bruit se refait entendre. Il semble être plus près. Marie se retourne, il n’y a rien. Elle se retourne et tend le bras vers sa tasse. Un homme cagoulé venant par-derrière se jette sur elle et lui passe un câble autour du cou. Après l’avoir maîtrisée, il l’attache et commence à fouiller sa chambre. Il trouve un coffre à bijoux, mais reste sur son appétit. Il crie. Elle reprend ses esprits. Il retourne à la salle à dîner et se dirige tout droit vers le système de son et la pile de DC. Il ne semble pas être intéressé par le vieil appareil de Marie et entre dans une colère noire. Il devient violent et Marie est de plus en plus effrayée. Le cambrioleur se dirige vers elle et lui demande où se trouve son argent. Elle lui indique d’un signe de la tête son sac qui est dans un coin. Là encore, le butin n’est pas à la hauteur du voleur. Il se lance vers elle en lui criant qu’il n’était pas venu ici pour rien et qu’il ne partirait pas les mains vides, qu’il allait prendre quelque chose. Le voleur commence à faire aller ses mains sur le corps de Marie. Son visage, sa respiration et des larmes trahissent sa peur. Quand il aperçoit ses larmes, il exhibe un sourire à faire froid dans le dos et la frappe. Il la détache et la projette sur son lit. Il se laisse aller à ses plus bas instincts. Il la domine, elle souffre. Après un moment, on découvre le voleur et Marie entrelacés dans le lit. Et Marie de rétorquer: "J'pense que j'aime mieux quand tu te déguise en super héros..."
Cultur'A:
Le melon:
Mise en contexte de l’atmosphère désirée :
Nous souhaitions mettre l’accent sur la rondeur du melon (cantaloup) en créant une analogie entre le fruit et les rondeurs du corps de la femme et donc, de la volupté, de la sensualité et de la fécondité de celle-ci. Se faisant, nous avons privilégié un éclairage tamisé ainsi que des images très «léchées» qui tentent de mettre en relief la texture et le volume de l’objet.
Première scène :
Plan rapproché de l'écorce du melon. Tel un labyrinthe, les nervures de la surface du melon nous amène de façon saccadée et rapide dans un tourbillon étourdissant. Une musique très rythmée et soutenue tout au long du parcours met en relief la frénésie, le sentiment d’empressement et l’excitation du moment. Une respiration haletante alimente l’atmosphère qui se veut très charnelle. Une pénombre accentuée d’un éclairage restreint mais ciblé stratégiquement guide également le spectacteur dans son trajet.
Deuxième scène :
La caméra ralentit pour découvrir un trou, une fente dans le melon qui plonge le spectateur à l’interieur du fruit. Un immense bruit d’inspiration profonde et brutale ajoute au sentiment de chute celui d’un soulagement et d’un plaisir non équivoque. Extrem close up des membranes et des pépins à l’intérieur de la cantaloupe entre-coupé de plans de la cantaloupe entière, de sa rondeur. La musique est beaucoup moins rythmée, elle est davantage enveloppante, douce, sensuelle. La respiration haletante demeure présente mais son rythme se fond également à travers l’atmosphère beaucoup moins tendues de la scène précédente.
Troisième scène:
C’est la finalité et la naissance, le plaisir et la douleur. La respiration ne se fait plus entendre mais une musique sereine mais à la fois «magistrale» soutient le glorieux, le merveilleux et le triomphe de l’apothéose!
Au coeur du rythme:
Le poisson:
Gallerie photos:
Voici quelques photos et montages que nous apprécions particulièrement et dont nous sommes l'auteur.
Celle-ci a pour modèle une amie très proche de Marie Yong qui a tenter de mettre en relief l'atmosphère nocturne de Montréal dans tout ce qu'elle a d'individualiste et d'ennivrant,
Cete image est le résultat d'un montage créé par Julie-Anne qui met en vedette le montréalais dj Frigid qu'elle a d'ailleurs interviewé dans le cadre de l'émission de radio mentionnée ci-haut: Cultur'A.