- | ? new agency in Vancouver in October nine report (reporter Lv Zhenya) the latest government report showed two, 0 to one one years, Canada sending troops to Afghanistan may cost more than $eighteen billion one hundred million, far more than the incumbent Prime Minister Harper claimed eight billion.<br>The report titled "Canadian troops in Afghanistan financial impact", by the Canadian parliamentary budget officer Pel in nine published,abercrombie france.The comment says, this report may affect five days after a new session of the forthcoming Canadian federal election,abercrombie.<br>The report shows, the past six years, Canadian troops in Afghanistan has cost seven billion seven hundred million to ten billion five hundred million, and two 0 one one annual total cost is likely to reach thirteen billion nine hundred million to eighteen billion one hundred million.<br>Pendants in today's news conference, plus the government operation mechanism of opaque,hollister, report is based on public financial data has been released to income,hollister pas cher.Because in the process of writing, some departments will not provide sufficient information, may lead to underestimation of invasion task cost.<br>Canada from two 00 two began sending troops to Afghanistan, present in the southern Kandaha province were stationed in the two thousand five hundred Canadian troops.So far, ninety-eight people are killed,abercrombie france, one of them for diplomats, others are soldiers.<br>In February 21st this year,doudoune moncler, the Canadian Parliament through new move,, decided to add army late in two to 0 in December one one withdrawal from afghanistan,.According to the report,abercrombie, Harper respond today said, military dead is the biggest loss in Canada “ ”, if necessary, the government will invest more funds,michael kors handbags.<br>The largest opposition party leader Dion seize on a chance criticized Harper for not establishing a &ldquo,air jordan; more transparent and accountable government.” here believe,moncler, Afghan troops in recent years has become a focus of controversy in Canada all major political parties, Congress over whether or not to end earlier garrison wrestling has been a long time.<br>Related articles:
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- | Moncler phuyr Sac longchamp xcpyq<br><br>Moncler Grâce à Christiane Marty, coauteure du livre Un impôt juste pour une société juste (Syllepse, 2011), les lecteurs de Respublica auront d'emblée, en faveur de la suppression du quotient familial, un argumentaire straightforward et vigoureux dans le top article de ce numéro. La redistribution verticale longchamp sac, elle vise à limiter les inégalités de revenus par le biais de transferts monétaires des additionally élevés vers les additionally faibles. Henri Sterdyniak privilégie la première approche en remarquant que la suppression du quotient familial bénéficierait certes aux familles les moins favorisées mais qu'en revanche elle pénaliserait (toutes) les familles nombreuses. Il faut lui faire justice d'avoir cependant envisagé et chiffré une réforme radicale portant à la fois sur la prise en compte de la predicament familiale par l'impôt et de l'ensemble des prestations familiales qui pour la plupart sont sous ailments de ressources. Dans un write-up de janvier 2011 de la Revue de l'OFCE (n° 116), il montre ainsi que la suppression du quotient familial, mais aussi des allocations familiales, du complément familial, des composantes familiales du RSA et des allocations logement, soit thirty,five Mds (foundation 2009) permettrait de financer un revenu social à l'enfant et au jeune moyen de 155 euros par mois. On pourra comparer avec l'hypothèse du crédit d'impôt de 190 par mois résultant des calculs de Landais, Piketty et Saez (Pour une révolution fiscale), ou avec le chiffrage de la Direction du Trésor cité par C longchamp pas cher. Marty sur la base de la seule redistribution du quotient familial (fifty euros), sans oublier les simulations du Haut Conseil à la Famille, moduler ou non selon l'âge de l'enfant… il reste que l'on est très loin de la compensation du coût réel de l'enfant dont Sterdyniak rappelle qu'il est de 559 euros en revenu médian. Avec un seuil de pauvreté de sixty %, il notice également que "une prestation uniforme de 335 euros par enfant assurerait qu'aucune famille ne se rapproche de la pauvreté du fait d'un enfant supplémentaire". Pendant ce temps, les choses sérieuses sont en cours avec la TVA "sociale" : en fiscalisant le financement de la branche famille et quels que soient les "fléchages" prévus aujourd'hui, l'État se donne les mains libres pour se désengager et transférer demain au privé certaines dépenses. Le Computer recule dans ses bastions populaires. Les néonazis sont partout présents et font une grande percée dans les villes. Le PASOK est désormais absent des grandes villes. Ainsi, Hollande serait socialiste à Paris, où, ennemi de la finance, il parlerait comme Mitterrand, ainsi que conservateur à Londres, où, ami du libéralisme, il parlerait comme Thatcher. Vallaud-Belkacem, porte-parole du candidat PS, a expliqué qu'il n'y a pas de double-jeu, que c'est bien le même discours, non position social-libéral, comme certains l'en accusent, mais «social-démocrate» (elle n'a pas ajouté «moderne»), c'est-à-dire un discours qui ne prône pas la collectivisation, mais plaide simplement pour in addition de régulation. Cependant que F sac longchamp pas cher. Fillon exonère Sarkozy de tout favoritisme à l'égard des riches: «j'entendais François Hollande expliquer que nous avions fait 70 milliards de cadeaux aux furthermore riches. Le social-démocrate parce qu'il serait porteur des valeurs de solidarité, justice ainsi que cohésion sociales,valeurs de gauche ; le libéral parce qu'il serait garant d'efficacité dans la création de richesse, préalable au bien de tous. Il y a certes, un discours de droite, celui du libéral qui prétend que son propre intérêt est celui de tous, ainsi que celui de gauche, du social-démocrate qui défend l'intérêt général, autre que le sien propre, ainsi que qui serait donc non-libéral. C'est là une perception superficielle des choses: si le libéralisme ancien, celui du 19ème, pouvait se résumer à l'individualisme ainsi que au laisser faire laisser passer, le néo-libéralisme a pris acte des transformations économiques, sociales et culturelles liées depuis l'entre-deux-guerres à la montée du fordisme ainsi que de la société de consommation, et il a adapté son discours.one. Le néo-libéralisme, le peuple ainsi que la redistributionLe néo-libéralisme est généralement assimilé à l'ultra-libéralisme, au tout-marché, and so on. Mais dès sa naissance dans l'entre-deux-guerres, ainsi que de par ses origines mêmes, la doctrine néo-libérale présente divers visages, avec toute une gradation dans son acceptation de l'intervention sociale, selon que la conception de l'intérêt général le réduit aux purs intérêts individuels ou l'élargit aux contraintes sociales liées à la nécessaire reproduction du système. Mieux vaut un assainissement rapide, retarder l'échéance en accroît le coût, c'est la logique des «thérapies de choc». Ce discours ouvertement anti-social ne peut tromper personne, sauf ceux qui font semblant parce qu'ils y ont intérêt, les rentiers longchamp pas cher. De même, le faux-ami «économie sociale de marché» peut se parer d'atoursde gauche (solidarité, and so forth.), il peut même se dire «socio-démocrate»et prétendre pouvoir corriger les résultats du marché, il peinera toujours à masquer son fonds commun néo-libéral: soumettre la vie économique ainsi que sociale à la loi du marché longchamp sac, supposée infrangible. Le peuple, c'est donc ici principalement, en nombre sac longchamp pas cher, les lessons moyennes, idea laissée dans le flou théorique. Les économistes de marché raisonnent comme les sociologues, en termes de revenu ainsi que de catégories socio-professionnelles définies selon des critères empiriques variables. Les lessons moyennes, artisans ainsi que commerçants, paysans ou salariés positionnés autour du revenu moyen ou médian, regroupent ainsi ceux qui ne sont ni riches (les élites), ni pauvres (le «bas peuple»). Ainsi, par la grâce de la division du travail ainsi que de la socialisation croissante du salaire via une significant redistribution, est apparue à côté de l'artisanat, du petit commerce ainsi que de la paysannerie, une «classe» de salariés que l'ascenseur social a extraits de la situation sociale basse. On the alors accusé les courses moyennes d'être des lessons assistées, indûment protégées par un État clientéliste. Au nom de la raison économique ainsi que de la vérité du marché, le néo-libéralisme légitima la reprise collective opérée par le rentier, à qui la fin de l'âge d'or «keynésien» rendit les rênes de l'État. Contre les «valets stipendiés du capital», qui ont pris le parti de gérer la crise en suivant la logique libérale conservatrice la plus ancienne ainsi que la furthermore brutale possible, la custom humaniste, à l'origine chrétienne sociale ou social-démocrate, croit pouvoir à la fois gérer le système et écarter les maux endurés par le peuple. Mais l'acceptation de la logique économique la conduit à d'abord devoir rétablir les «grands équilibres», en top lieu financiers. Le peuple ne peut rien attendre des élites politiques qui ont accepté ainsi que géré le tournant néo-libéral de la dynamique du sytème. Sous sa gouverne, toujours il s'agissait de reprendre au peuple ce qu'il avait indûment arraché sac longchamp pas cher, au gré des circonstances politiques, en imposant un complete laxisme de la redistribution. Mais la «revanche du rentier» passa par des possibilities divergentes, qui s'imposèrent, l'une plutôt que l'autre, ainsi que additionally ou moins rapidement, selon les situations historiques, sociales ainsi que culturelles de chaque country. Chacun obtient alors la juste récompense de son expertise. Cependant, le marché peut tenir à l'écart celui qui, par lead to naturelle, n'aurait pas la opportunity d'être «employable». Les néo-libéraux divergent sur la manière de garantir un bon fonctionnement du marché ainsi que sur la forme de l'intervention sociale contre la sélection naturelle.• Les plus radicaux sont les libertariens, qui, à la suite Hayek, considèrent que seul l'individu sait ce qui est bon pour lui ainsi que qu'en conséquence nul ne peut décider à sa spot. Le verdict du marché, lieu de la confrontation des choix individuels ainsi que de leur mise en cohérence, est juste s'il n'y a pas d'interférence extérieure de l'État. Celui-ci doit être limité aux fonctions régaliennes et en aucune manière imposer des contraintes au fonctionnement du marché, qui est ideal quand il s'autorégule. Les libertariens s'opposent au constructivisme social, selon eux générateur de pertes de bien-être collectif.Économiquement, nul besoin de banque centrale, la bonne monnaie chasse les mauvaises, ni de lois de la concurrence, si monopole il y a c'est qu'il est efficace, ou de toute politique autre que visant la garantie de la propriété personnelle ainsi que le libre jeu du marché. C'est la théorie des marchés efficients, qui a sous-tendu la marche dérégulée de la finance: le marché libre donne toujours le vrai prix, celui qui assure l'harmonie des ideas individuels. En effet, mâtinée de théorie de l'agence, elle fonde le principe de la «valeur actionnariale» ou «création de valeur pour l'actionnaire», selon laquelle la rémunération des managers doit les inciter à rémunérer au mieux l'argent des actionnaires. ainsi se justifient les incentive, stock-options, retraites-chapeaux et autres parachutes dorés. Les supervisors peuvent donc se gaver à hauteur de leur capacité à assurer des revenue, soit par la distribution de dividendes, soit par les plus-values boursières. Comme il n'y en a guère, puisqu'on ne crée pas de richesse réelle, la seule voie possible est celle de la création d'argent fictif, en recourant à l'effet de levier, les ventes à découvert, etc., toutes methods connues depuis des siècles. Nombre de petits épargnants sont devenus des petits porteurs qui s'en remettent à la science des professionals. Mais quid en cas de crisede la finance elle-même ? Interviennent alors les rachats d'actions par l'entreprise, qui soutiennent ou font remonter le cours en bourse ainsi que attirent normalement de nouveaux petits porteurs. La tentation est alors grande de continuer à racheter des actions qui ne choient pas, uniquement pour continuer à s'octroyer de grasses rémunérations, ce qui, sous couvert de les enrichir, gruge les «petits» actionnaires, ceux qui n'ont pas accès aux bonus, puisque dans l'affaire ils échangent une richesse réelle présente, leurs dividendes longchamp pas cher, contre une richesse long term, les plus-values latentes. Pour eux, tout est calcul économique, que ce soit le choix de carrière (y compris criminelle, plus «intéressante» si la peine de mort est abolie), la décision de se marier et celle du nombre d'enfants, and many others. Et les aides sociales désincitent le bénéficiaire à faire l'effort de travailler. Friedman est tout aussi austéritaire et donc anti-social que l'ultra-libéralisme, mais il s'en distingue par l'approche monétaire. Furthermore pragmatiste, directement engagé dans la gestion de la monnaie, le monétarisme admet la nécessité de la banque centrale ainsi que reprend les conceptions de Ricardo pour contrer celles de Keynes qu'il rend responsables de la stagflation des années 70. En France, il était derrière la stratégie de désinflation compétitive des années post-83 et de réduction du nombre de tranches d'impôt sur le revenu. Il est canoniquement formulé par les dix commandements du Consensus de Washington, dont la mise en question par le «post-consensus» est un attrape-nigaud, car ledit post-consensus n'est que le passage pragmatiste à l'ordo-libéralisme, qui permet de garder le fonds libéral en abandonnant la forme brutale des ideas d'ajustement structurel ou thérapies de choc.• L'ordo-libéralisme est globalement «monétariste», hyper orthodoxe quant à la gestion de la monnaie et des finances publiques, mais il insiste sur la nécessité d'un cadre institutionnel assurant la cohésion sociale qui seule permet la réussite de la politique menée. On peut considérer que l'ordo-libéralisme est un avatar de la doctrine sociale de l'Église ayant accepté le marché (en gros depuis Reum Novarum). Le marché est efficace s'il fonctionne dans un cadre institutionnel adéquat. On peut retenir trois grands caractères :le marché donne le juste prix si la concurrence est loyale, libre et non faussée: il faut donc une politique de la concurrence, telle la politique anti-trusts américaine, d'inspiration institutionnaliste, de la fin du 19ème. Cependant, cette indépendance est formelle, elle repose sur la capacité de la bureaucratie bancaire à résister au pouvoir politique légal, c'est-à-dire que l'indépendance est affaire de pouvoir. C'est à l'État de s'en assurer, mais avec la limite du principe de subsidiarité: à lui uniquement ce qui ne peut être fait sans lui, il ne doit jamais se substituer aux compétences individuelles. La sphère d'intervention légitime de l'État ordo-libéral est donc furthermore significant que celles des autres composantes néo-libérales, ce qui à cependant l'inconvénient d'ouvrir la porte à des dérives possibles vers toujours plus de redistribution. C'est pourquoi, à l'heure de la «pensée unique» des années 90 longchamp pas cher, un H. Plus largement, l'ordo-libéralisme est en effet socialo-compatible dès l'instant que les socio-démocrates acceptent le marché, la difficulté étant de fixer la limite de l'intervention sociale, la conjoncture se chargeant cependant de rappeler les éventuels laxistes à la dure réalité. L'ordo-libéralisme s'inscrit dans la ligne humaniste des droits de l'homme, il est donc universaliste. Ainsi, les chrétiens sociaux les plus rigoristes sont restés à droite, mais toujours humanistes, tandis que d'autres, furthermore sensibles au déterminisme social, ont pu rejoindre des socio-démocrates furthermore ou moins libéraux. Humanistes aux sens où ils mettent au-dessus de tout la capacité de puissance de l'homme, ils sont dans le droit fil de l'intégrisme chrétien. Ils ont toujours été opposés au constructivisme européen, vehicle la nation ne peut se fondre dans le supra-national, le fédéralisme européen sans country est une impasse, la fiscalité doit épargner celui qui réussit, and so on. Lesdits esprits croient à leur discours, parce qu'ils croient que l'intérêt général passe par la mondialisation, que l'euro va les aider à s'y intégrer en les protégeant, etc. Ils défendent des intérêts de classe en pensant défendre l'intérêt général, parce qu'ils croient que ne pas défendre directement ses propres intérêts, c'est défendre ceux du peuple.Related articles:
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